L'affaire du crash de Roswell
Jeudi 5 août 2010

 

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«The Roswell Incident» est sans doute la plus mystérieuse "rencontre" avec un engin venu d'une civilisation extraterrestre. Le 4 juillet 1947, un crash s'est produit aux États-Unis près de Roswell au Nouveau-Mexique. L'incident est peut-être la plus extraordinaire preuve tenue secrète de la présence dans l'Univers d'autres civilisations bien plus évoluées que nous. Le gouvernement des États-Unis a changé 3 fois sa version des faits depuis 1947. Il a été question d'un crash d'un ballon-sonde top-secret destiné à espionner les soviétiques. Cette explication a vite été contestée par des témoins et des militaires. Il s'agirait en fait de l'épave d'un vaisseau spatial extraterrestre récupérée et dissimulée par les militaires. Le 4 juillet 1947, William Brazel, propriétaire d'un ranch près de Roswell, découvre des débris sur ses terres éparpillés sur environ 80 mètres de large et sur un kilomètre de long. William Brazel avait déjà récupéré des ballons météo comme beaucoup d'habitants du secteur. Il ramassa quelques échantillons et fut si intrigué par l'aspect inhabituel des matériaux qu'il alla les montrer à ses voisins situés à plusieurs kilomètres.

Ceux-ci lui conseillèrent de contacter le shérif de Roswell qui avertit le lieutenant Walter de la base militaire la plus proche, la Roswell Army Air Field, la seule base militaire au monde équipée de bombardiers atomiques. Un premier communiqué de presse fut publié à la demande du colonel William Blanchard, le commandant de la base de Roswell. «Une "Flying disc", qui s'est écrasée près d'un ranch à Roswell, a été récupérée...» Aussitôt, les médias du monde entier se saisirent de l'affaire. Blanchard devint alors étrangement injoignable pour les médias, il fut officiellement mis en congé le jour même. Un mois plus tôt, Kenneth Arnold avait observé, aux commandes de son avion privé, 9 objets volant à plus de 1 500 km/h au-dessus du Mont Rainer. Une vague d'observations d'OVNI a été constatée dans tout le pays. Au Nouveau-Mexique, où se situe Roswell, deux observations furent rapportées les 27 et 28 juin. La Base de Fort Worth au Texas a déclaré le 30 juin qu'il s'agissait probablement de confusions avec des avions ou des vagues de chaleur. La nuit du 4 juillet, durant un orage extrêmement violent, un objet volant lumineux, peut-être en difficulté, a été observé à proximité de Roswell et s'est écrasé le 4 juillet 1947 près du ranch de William Brazel. Les débris de l'engin ont été transportés par avion à la base de Fort Worth pour examen. Un rectificatif fut alors publié, l'engin était seulement un ballon-sonde.

Une conférence de presse fut organisée, exposant aux journalistes des prétendus débris de l'objet. Les autorités purent alors confirmer officiellement la thèse du ballon. L'affaire était étouffée et tomba dans l'oubli pendant une trentaine d'années. En 1978, un lieutenant-colonel en retraite, Jesse Marcel, le premier arrivé sur les lieux du crash et impliqué dans la récupération des premiers débris, déclara à Stanton Friedman venu l'interviewer puis à la télévision que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre et que les débris que le général Ramey avait montrés aux journalistes n'étaient pas ceux que Marcel lui a apportés de Roswell. Selon lui, les militaires avaient caché la découverte d'un vaisseau spatial. Les types de matériaux extrêmement solides avaient des propriétés jusqu'alors totalement inconnues (des feuilles métalliques poreuses extrêmement légères quasi indestructibles et à mémoire de forme). Il trouva ces débris si étranges qu'il demanda à sa femme et à son fils d'en tester les propriétés, ce qui alimenta l'hypothèse d'une "politique du secret" imposée par les autorités militaires. En février 1980, le National Enquirer réalisa sa propre interview du major Marcel sur l'accident de Roswell.


L'autopsie d'une des "créatures" de Roswell


D'autres témoins, dont des militaires de haut rang ou leur famille, accréditant par affidavits (déclarations écrites sous serment), ont commencé à parler et des rapports déclassifiés sortirent de l'ombre. Une opération militaire s'était déroulée pour récupérer les morceaux d'épave, d'étranges créatures et la partie principale du vaisseau endommagé au nord-est de Roswell. En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, confirma que ce dernier a substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo. Ce sont ces débris qu'il a montrés aux journalistes. L'US Air Force a ensuite proposé deux autres rapports. Le premier, de 1995, conclut que les débris retrouvés en 1947 provenaient bien d'un programme secret appelé "Projet Mogul" (lâcher de ballons atmosphériques pour espionner les expériences nucléaires soviétiques). Le second, de 1997, conclut que les témoignages concernant la récupération de cadavres d'extraterrestres provenaient vraisemblablement de rapports détournés d'accidents militaires ou la récupération de mannequins anthropomorphiques lors de programmes militaires.

En fait, ces rapports ne tenaient pas, aucun ballon "Mogul" n'avait été lancé en 1947 et les parachutages de mannequins n'ont débuté qu'en 1953. Il est très improbable que des officiers, occupant des postes d'un tel niveau de sécurité, aient pu confondre les débris de ballons en néoprène ou en polyéthylène, des morceaux de balsa et du papier collant éparpillés par le vent, avec les débris de matériaux inconnus et très résistants dispersés par une explosion en éventrant le sol sur plusieurs dizaines de mètres. Les débris avaient été récupérés et transportés dans trois bases militaires. Il fallait une version destinée à maintenir le secret. En 2002, le lieutenant Walter Haut, porte parole de la base de Roswell, enregistra une déclaration scellée sous serment devant notaire qui ne devait être rendue publique qu'après sa mort en décembre 2005. Il affirme avoir vu les corps des extraterrestres récupérés sur le deuxième site découvert le 3 juillet. Il confirma avoir eu en main des débris de l'objet volant.

Le lieutenant Walter avait promis au colonel Blanchard de garder ce secret jusqu'à sa mort. Le communiqué de presse était destiné à cacher l'existence du site où ont été retrouvés les corps. L'opération fut agencée avec le général Ramey. Les deux sites ont été ratissés par l'armée et les débris ont été recherchés jusque chez les premiers témoins, dont Bill Brazel, le fils du fermier, qui dut remettre ses échantillons. Walter Haut pensait que ce silence lui éviterait de voir ses faits de carrière discrédités comme ce fut le cas pour Jesse Marcel après ses déclarations rompant la politique du secret. Les corps et les débris furent transférés depuis Roswell par B-29 à la base de Fort Worth. Deux autres militaires ont confirmé la récupération des corps. Selon Anthony Bragalia, les débris retrouvés à Roswell ont été transférés par l'US Air Force à l'institut Battelle dans l'Ohio pour reproduire, à partir de travaux effectués en 1947, un métal à mémoire de forme: le Nitinol alliant Titane et Nickel. Au début des années 1990, Friedman, William Moore, Karl Pflock, et l'équipe de Kevin Randle et Don Schmitt, ont interviewé des centaines de personnes qui ont eu un lien avec les événements de Roswell de 1947 et se sont procuré des centaines de documents.


Avec l'aide de la Freedom of Information Act et une source interne. Ils conclurent qu'au moins un vaisseau extraterrestre s'était écrasé du côté de Roswell, que les passagers avaient été récupérés, que certains étaient peut-être encore en vie, et que toutes les informations sur l'incident avaient été dissimulées... Voici un extrait tiré de UFO Crash at Roswell (1991) de Kevin D. Randle et Donald R. Schmitt: «Un OVNI s’est écrasé au Nord-Ouest de Roswell, Nouveau Mexique, pendant l’été 1947. L’armée est intervenue rapidement et de manière efficace pour récupérer les débris après avoir été informée de leur existence par un employé d’un ranch. Les débris (ne ressemblant à rien de ce que ces hommes hautement qualifiés aient déjà pu voir) ont été expédiés sans délai dans au moins trois installations gouvernementales. Une histoire a été concoctée pour dissimuler la vérité sur les débris et l’agitation. Il a été expliqué qu’un ballon météo, un modèle avec une radiosonde, avait été trouvé et avait temporairement perturbé le 509e escadron. Des agents gouvernementaux ont emporté les notes des journalistes et ont empêché l'un d'eux de diffuser l’entretien enregistré avec l’employé du ranch. Le cas Roswell a rapidement disparu aux yeux du public et à la curiosité de la presse.»

En 1980, dans "The Roswell Incident", Jesse Marcel décrit des débris «ne ressemblant à rien de fabriqué sur cette terre»... D’autres récits suggèrent que le matériau récupéré par Marcel possédait d’autres qualités qu’aucune matière d’origine terrestre ne pouvait avoir, et sans rapport avec un "ballon météo". Les débris récupérés par Marcel au ranch Foster ont été remplacés par des débris d’un ballon météo afin de dissimuler la réalité. Marcel a posé avec les vrais débris, puis les pièces ont été échangées et les autres ont posé avec les débris du "ballon météo". Le livre relate l’intimidation des témoins, en particulier la mise en détention de Mac Brazel, qui signala le premier les débris et évoque l’histoire de Barney Barnett, décédé quelques années plus tôt. Barney Barnett avait plusieurs fois décrit le crash d’un OVNI et la récupération des corps dans la région de Socorro, à 240 km du ranch Foster. Lui et un groupe d’archéologues sont tombés sur un vaisseau et ses occupants ont été emportés par des militaires. Selon d’autres témoignages, les extraterrestres et leur vaisseau furent emmenés à la base d’Edwards Air Force (Muroc Army Air Field) en Californie. Le livre suggère que l’armée a orchestré la déposition de Brazel pour qu’il dise qu’un objet banal avait atterri sur le ranch.

L’Air Force avait forcé Brazel à révéler la manière dont il a découvert l’épave et à quoi elle pouvait ressembler... Brazel a été conduit sous escorte militaire et gardé au secret pendant plusieurs jours par la sécurité de l'US Air Force avant de faire cette déclaration à la presse. En 1989, "Unsolved Mysteries" a diffusé des autopsies des extraterrestres de Roswell et a évoqué la présence de corps extraterrestres sur la base militaire de Roswell. Le livre évoque également le récit du Général Arthur E. Exon. Il déclare qu’il y avait un groupe étrange de 13 personnes qui contrôlait tout et avait accès à ce qui avait été récupéré. Plus tard, il affirma: «Dans les années 1955 (quand Exon était au Pentagone), on racontait aussi que, quoi qu’il ait pu se passer, quoi qu’il eût été trouvé à Roswell, c’était bien gardé et ce serait probablement bien gardé tant que les "gars" dont j’ai parlé soient morts, ainsi ils ne seront pas mis dans l’embarras et n’auront pas à expliquer pourquoi ils ont dissimulé tout ça... jusqu’à ce que les treize soient morts et je ne pense pas que quiconque va tout dévoiler avant que le dernier d’entre eux ne soit mort.» Brazel a été mis en détention pendant presque une semaine puis il fut escorté dans les bureaux du Roswell Daily Record le 10 juillet où il a raconté ce que le gouvernement lui a dit de dire. Dennis fait un récit des créatures qui ont été vues sur la base aérienne de Roswell, puis de leur transfert à Fort Worth et enfin à la base de Wright Field. Huit corps auraient été récupérés sur deux sites du crash: Trois morts et un encore en vie au ranch de Foster et trois morts et un vivant sur le site de Sorocco. En 1993, Ray Santilli dit posséder le film d'une autopsie d'un extraterrestre qui aurait survécu au crash. Le 26 mars 1995, une dépêche de l'AFP évoque un film tourné il y a près de 50 ans sur l'autopsie d'un extraterrestre après l'accident d'un OVNI.

Le samedi 26 juin 1995, le film entier est diffusé sur TF1. Le docteur Patrick Braun et Josiane Pujol, expert en odontologie et en anthropologie, déclarent que l'autopsie est bien réalisée sur un vrai corps, que ce n'est pas le corps d'un être humain malformé et affirment qu'aucune pathologie connue de la médecine ne peut expliquer la structure organique du corps autopsié. En novembre 2005, un groupe de personnes de la Defense Intelligence Agency des États-Unis commence à publier des informations sur les OVNI au sujet d’un Projet Serpo. D'après ces informations, en juillet 1947, il y aurait bien eu deux vaisseaux qui se sont écrasés dans l’état du Nouveau Mexique et qu’un extraterrestre aurait survécu 5 ans et serait décédé en 1952. En juillet 2008, dans une interview donnée à Kerrang Radio, l'astronaute Edgar Mitchell, le sixième astronaute américain à avoir posé le pied sur la Lune et pilote du module lunaire de la mission Apollo 14 (31 janvier 1971), a affirmé que le crash de Roswell a bien eu lieu, que les autorités US ont utilisé la technologie extraterrestre et dissimulé pendant 60 ans la réalité du phénomène.




Le plus important crash d'OVNI depuis Roswell
Mercredi 8 septembre 2010

J'ai eu la chance de rencontrer des scientifiques et même des théologiens qui partagent ma théorie selon laquelle la Terre est visitée depuis l'arrivée de l'Homme (au moins depuis le Néolithique). Un article publié au Québec évoque des faits étranges qui vont dans le sens de discussions que nous avions eues avec un astrophysicien et scientifique à propos de ce qu'on nous a caché lors des vols sur la Lune (Apollo). «Vers la fin de l'été de 1999, Martyn Stubbs, un ex-opérateur de la station de télévision en Colombie-Britannique au Canada, a sans doute déclenché ce qui a été l'événement le plus spectaculaire de l'histoire des OVNI depuis plus de 50 ans. Les conclusions de Martyn Stubbs ne laissent planer aucun doute: Nous ne sommes pas seuls dans l'Univers». Martyn Stubbs évoque ce que les astronautes des navettes et de la station internationale ISS ont vu lors des missions sur l'ISS. Martyn Stubbs a enregistré, sur les transmissions de la NASA, plus de 2 500 heures pendant cinq ans. Ces vidéos montrent clairement des objets contrôlés (donc pas des phénomènes naturels). Les engins se déplacent par rapport à la navette et à la station spatiale ISS. La NASA n'a pas réussi à expliquer certaines photographies et a tout simplement refusé de les commenter... Attention, la photo est un montage réalisé par moi.

Des astronautes ont rapporté avoir observé d'étranges objets inconnus évoluant près des navettes et de la station spatiale ISS... Le révérend Barry Downing évoque également les OVNI dans la Bible et suggère que les OVNI ont joué un rôle important dans l'histoire du monde. Barry Downing écrit dans son livre «La Bible et les Soucoupes Volantes» que des messagers sont venus et que les textes sont en réalité les descriptions antiques d'OVNI.. Barry Downing et des scientifiques estiment que quand les Écritures hébraïques sont traduites correctement, elles décrivent une soucoupe surmontée d'un dôme transportant les "messagers de Dieu" ou les "anges". Barry Downing affirme que «pendant leur fuite d'Égypte, les Hébreux furent gardés par une colonne de nuage dans la journée et par une colonne de feu la nuit (Exode 14-24). Parfois, la colonne est mentionnée comme Dieu (Exode 13-21, 14-24)... Le mont Sinaï fut enveloppé de fumée parce que Dieu y descendit dans une boule de feu (Exode 19:18)... La Bible évoquerait-elle des engins en vol stationnaire au-dessus du Sinaï pendant des mois ? Dieu rencontra Moïse au sommet du mont Sinaï et donna les Lois de Dieu appelées les Dix Commandements...» Selon moi (et bien d'autres), c'était peut-être un engin spatial venu d'un gigantesque vaisseau en attente (Pluton et Charon ?). C'est peut-être là qu'il faut chercher Dieu et non pas dans des adaptations des Hommes les plaçant dans leur environnement et en les définissant comme textes divins. D'autres passages de la Bible sont troublants. Mais si on veut tenter de comprendre les choses autrement que par les "vérités divines" établies (et imposées), on ne se fait pas beaucoup d'amis...

En août 2010, des témoignage sur des OVNI ont été révélés au Canada. Des OVNI ont été repérés dont particulièrement un près de Fresno en Californie qui se serait écrasé sur le flanc d’une montagne au nord de Fresno. Des véhicules militaires l’ont rapidement entouré. C'est peut-être, d'après des spécialistes en Ufologie, le plus important crash d'OVNI depuis l’accident de Roswell. Des témoins de l'accident auraient crié: «Il essaie de décoller !» Il s'agissait de trois lumières blanches et d'une lumière blanc bleuté comme la lumière d’un poste a souder a l’arc. L’engin était-il en train d'être réparé ? Jeffrey Gonzalez a enquêté et a dit avoir vu une raie en forme de triangle devant une cabane abandonnée sur la montagne et deux gigantesques marques de brûlures sur la colline. On songe immédiatement au fameux TR-3B en service depuis 1994, une plate-forme militaire US à structure triangulaire défiant la gravité. En août 2010, des témoins ont assisté au crash d’un
TR-3B à Central Valley en Californie. Jeffrey Gonzalez (le directeur de la section d’État du MUFON) a fait un rapport sur un «vaisseau triangulaire» ayant fait un atterrissage forcé sur le flanc d’une colline à proximité de Fresno en Californie. Les témoignages étaient semblables à ce que Jeffrey Gonzalez a vu à Fresno: Près d'une cabane se trouvait un grand engin dont la forme rappelait celui d’une raie. «J’ai d’abord cru que mes yeux me jouaient des tours. Mais c’est exactement tel que je le décris, il ressemblait à un vaisseau aérien en forme de raie...» Lorsqu'il est revenu sur la zone le lendemain (la zone du crash est inaccessible au public) avec un collègue chercheur, l’engin avait étrangement disparu.

S'agissait-il d'incidents sur des TR-3B ? Rien n'est moins sûr. On peut penser que des visiteurs surveilleraient les base stratégiques des humains pour mesurer les risques que nous pourrions représenter pour l'Univers en adaptant toujours les technologies des OVNI extraterrestres pour la guerre. Des passages de la Bible, si on les lit dans un contexte non religieux, le relatent très précisément. Je pense -mais je le répète, ce n'est qu'une analyse personnelle même si j'ai rencontré des scientifiques qui le pensent aussi- que la Terre est un danger pour l'équilibre de l'Univers. Tant que nous nous massacrions avec des haches, ça allait mais nous avons détourné les technologies extraterrestres pour pouvoir détruire notre Terre et, tel l'effet de dominos, mettre en péril le fragile et complexe équilibre de l'Univers. Alors, ces "messagers de Dieu", ces extraterrestres en attente, doivent quelque fois intervenir assez brutalement. C'est ce qui est écrit dans la Bible depuis la Genèse. Mais ne le répéterai jamais assez, je ne suis pas un gourou, pas un prophète, simplement un compositeur solitaire qui s'interroge sur le sens de la vie et de l'Univers. Les engins observés par les astraunautes des navettes et de l'ISS ne pouvaient pas être des TR-3B qui atteignent 33 kilomètres d'altitude, la station internationale ISS et les navettes gravitant à environ 350 km. Une autre question se pose: Qu'est-il advenu des occupants de l'OVNI qui s'est écrasé près de Fresno en Californie ?



Un ex de la CIA confirme la thèse de l'OVNI de Roswell

Mise en ligne: Lundi 16 juillet 2012

Chase Brandon, un ex-agent de la CIA ayant officié durant 25 ans au service des opérations secrètes, affirme avoir découvert des preuves, dans les archives de l’agence de renseignement, prouvant que le gouvernement américain a menti au sujet de l'affaire Roswell et du crash d'un OVNI au Nouveau-Mexique aux États-Unis 4 juillet 1947. Ces révélations risquent de relancer l’affaire Roswell, Chase Brandon, assure dans un entretien au "Huffington Post", avoir découvert des preuves de la présence d’un OVNI. Au milieu des années 1990, il est tombé par hasard sur un document "top secret" au sous-sol du siège de l’agence de renseignements américaine à Langley en Virginie. Un dossier a particulièrement attiré son attention: «Un jour, j’étais en train de chercher un document et je lisais les inscriptions écrites à la main sur les cartons. Une boîte a principalement attiré mon attention et notamment ce mot, "Roswell"... J'ai fouillé à l'intérieur, mis la boîte sur une étagère et j'ai dit: "Mon Dieu, c'est vraiment arrivé !"»... Chase Brandon a découvert à l’intérieur du dossier des éléments qui attesteraient l’existence d’un OVNI mais l’ancien agent reste énigmatique sur le contenu. «Il y avait des écrits et certaines photographies. C’est tout ce que je peux dire sur le contenu de cette boîte».

Selon l'ex-agent de la CIA, «C'était un vaisseau qui ne venait pas de cette planète...» D'après Chase Brandon, il n’y a désormais plus aucun doute: «Ce n'était pas un ballon météo, c'était ce que les gens ont d'abord rapporté. C'était un vaisseau qui ne venait pas de cette planète... Pour moi, ce fut l’instant validant le fait que tout ce que j'avais cru, et que tant d'autres personnes croyaient, était vraiment ce qui s'était passé...» Alors qu’un sondage du National Geographic révèle que plus d'un tiers des Américains croient à l’existence des OVNI et des extraterrestres, je vous invite à relire "l’affaire du crash de Roswell" (1). Le 4 juillet 1947, un crash s'est produit aux États-Unis près de Roswell au Nouveau-Mexique. L'incident est peut-être la plus extraordinaire preuve tenue secrète de la présence dans l'Univers d'autres civilisations bien plus évoluées que nous. Le gouvernement des États-Unis a changé 3 fois sa version des faits depuis 1947. Il a été question d'un crash d'un ballon-sonde top-secret destiné à espionner les soviétiques. Cette explication a vite été contestée par des témoins et des militaires. Il s'agirait en fait de l'épave d'un vaisseau spatial extraterrestre récupérée et dissimulée par les militaires. Le 4 juillet 1947, William Brazel, propriétaire d'un ranch près de Roswell, découvre des débris sur ses terres éparpillés sur environ 80 mètres de large et sur un kilomètre de long. William Brazel avait déjà récupéré des ballons météo comme beaucoup d'habitants du secteur. Il ramassa quelques échantillons et fut si intrigué par l'aspect inhabituel des matériaux qu'il alla les montrer à ses voisins situés à plusieurs kilomètres. L'armée aurait alors "monté" l'histoire du ballon-sonde. D’autres pensent que Roswell a été un "contact" entre les humains et des extraterrestres. Roswell n'est pas la seule affaire de crash d'OVNI. Les extraterrestres nous visitent-ils depuis la préhistoire ?



OVNI: Le crash de Kecksburg

Mise en ligne: Mercredi 18 juillet 2012

Le 9 décembre 1965, à 16 heures 45, un étrange objet traverse le ciel au-dessus des Grands Lacs, à la frontière des États-Unis et du Canada. Au Michigan, dans l'Ohio, en Pennsylvanie et au Canada, des centaines de personnes aperçoivent un objet en flammes et signalent ce qu'ils ont vu aux autorités. On croit d'abord à un avion en feu. Les témoins décrivent une sphère orangée dégageant de la fumée derrière elle. La description correspond à un météore se désagrégeant en pénétrant dans l'atmosphère. Cette explication est la première admise par les autorités et la communauté scientifique. Dans la même soirée, un engin fait un atterrissage en catastrophe dans un bois près de Kecksburg en Pennsylvanie. Toute la région entend un énorme "bang" et perçoit la puissante secousse ayant fait trembler la terre. La fumée produite par l'objet avant qu'il ne s'écrase reste visible pendant plus de 20 mn. Ceci est filmé et photographié par un habitant de Pontiac dans le Michigan à 300 km de là et par de nombreux témoins. Les services d'urgence appelés sur les lieux s'attendent à trouver l'épave d'un avion venant de s'écraser mais découvrent la sphère en feu décrite par les habitants. Une unité de l'armée de la base de Lockbourne est déjà sur place et a pris position avant eux sur les lieux de l'accident. Les jours suivants, l'armée déclare "n'avoir rien trouvé" dans la forêt de Kecksburg. Des pilotes en vol ont également été témoins du phénomène.

Les pilotes ont évoqué une onde de choc ressentie à proximité de l'engin. La traînée de fumée a persisté plus de 20 minutes après le passage de l'objet. À 16 heures 45, deux enfants jouaient dans un bois à côté de la ville de Kecksburg en Pennsylvanie. Ils ont vu un objet lumineux s'écraser au milieu de la forêt et mettre le feu aux arbres. Ils sont immédiatement rentrés au domicile familial et ont raconté l'histoire à leur mère. Celle-ci prévient la police et les pompiers. Lorsque les forces de police et les pompiers sont sur le site, un escadron militaire de la base de Lockbourne (Ohio) arrive sur les lieux et prend le contrôle de la zone. Les militaires intiment l'ordre à toutes les personnes présentes (pompiers, policiers ou civils) de partir immédiatement. Puis, le responsable du détachement militaire prévint les autorités locales: Ils n'ont rien trouvé dans la forêt de Kecksburg. L'escadron est ensuite repartit. Pourtant, on a retrouvé des débris métalliques à Lapeer dans le Michigan. En mars 1966, Ivan Sanderson a rédigé un compte-rendu détaillé de témoignages. Il s'est vite rendu compte qu'il s'agissait bien plus que d'une simple météorite. Ivan Sanderson a démontré que l'objet a suivi une trajectoire bien déterminée (il modifiait sa trajectoire) ayant duré au moins 6 minutes, soit une vitesse bien trop lente pour un météore. De plus, tous les témoins n'étaient pas situés au sol. Plusieurs pilotes ont dit avoir été secoués par des ondes de choc lorsque l'objet est passé à proximité. Or, la plupart des météorites sont situées plusieurs kilomètres au-dessus de l'altitude de vol des avions commerciaux. Selon les témoins au sol, il y a eu une onde de choc et des "bang" soniques. La traînée de fumée était si intense qu'elle est restée en place pendant plus de 20 minutes, elle a été filmée et photographiée par plusieurs personnes. Ivan Sanderson a calculé la trajectoire de la boule de feu à partir des différents témoignages et en a conclu: L'objet se déplaçait à une vitesse d'à peine 1 600 km/h, ceci élimine formellement la thèse d'une météorite. La version officielle a brusquement changé, il ne s'agissait plus de la chute d'une météorite mais de celle d'un satellite russe (Cosmos 96).

Robert Bitner a raconté comment son équipe a pu observer l'engin avant de se faire intercepter par l'armée et escorter hors du bois. James Mayes raconta qu'un camion à plateau avait quitté les lieux dans la nuit, transportant un objet recouvert d'une bâche. L'armée américaine (Le 662e Escadron de Radar basé à l'arsenal de Oakdale) avait bien enlevé l'engin. Elle a ensuite nié avoir découvert quoi que ce soit. Selon un officier de la base de l'armée de l'air de Lockbourne (près de Columbus à environ 240 km de Kecksburg), un camion est bien arrivé à la base avant l'aube, transportant un important objet de forme conique caché sous une bâche. Le camion est entré à l'arrière de la base par un accès peu utilisé -attitude plutôt étrange- où l'officier était de garde. L'officier avait reçu l'ordre de tirer sur quiconque essaierait de s'approcher du camion, sans être informé de ce qui se trouvait sous la bâche. À 7 heures, le camion a pris la route de la base aérienne de Wright-Patterson (siège d'un projet d'étude des objets non identifiés). S'agissait-il d'un engin secret, d'un satellite russe ou d'autre chose ? Comme dans l'affaire Roswell, on n'a jamais su ce qui avait vraiment été récupéré. On ne va pas nous faire le coup du ballon météo à chaque fois ! L'affaire en resta là pendant quinze ans quand des ufologues entreprirent de revoir le dossier. Ils ont découvert que les pompiers avaient pu s'approcher assez près de l'engin avant d'être refoulés par les militaires.


Les pompiers ont vu des lumières clignotantes bleues. Des témoins ont vu un grand camion plat quitter le secteur en transportant un grand objet ovale couvert d'une bâche. Un témoin affirme avoir observé le chargement de l'engin sur le camion par les militaires. Il a décrit un objet ayant une forme ovale, avec des "butoirs" sur sa base et a noté des "pictogrammes étranges" sur l'engin. Différents rapports de la NASA ont confirmé que le satellite russe Cosmos 96 a bien quitté son orbite le 9 décembre 1965 à 3 h 15, soit 13 heures avant les événements de Kecksburg. Ceci est totalement incompatible avec un crash dans la région de Kecksburg à 16 heures 45... James Mayes, Melvin Reese et Robert Bitner (membres des pompiers de Kecksburg) purent s'approcher à moins de 60 mètres du point d'impact avant l'arrivée des militaires. Ils virent un objet ovoïde de 5 mètres de long, sans rivets ni hublots ou trappes, dont la base était constituée d'un anneau recouvert de symboles incompréhensibles (un des pompiers était d'origine polonaise et lisait parfaitement le russe, ce n'était pas des inscriptions en russe). Un entrepreneur qui livrait une cargaison de briques à la base de Wright Patterson le 16 décembre 1965 a aperçu dans un hangar un engin étrange entouré de personnes en combinaison blanche anti-radiations. Ce témoin a fait une description de l'objet correspondant parfaitement au témoignage des trois pompiers de Kecksburg.

Début 2002, John Podesta, un ex-conseiller du président Bill Clinton, et Leslie Kean, un journaliste indépendant, ont porté l'affaire en justice au nom de la "Liberté de l'information" afin d'obliger le gouvernement à publier les documents dont il disposait sur cette affaire. En décembre 2005, une décision de justice fut rendue et le porte-parole de la NASA a déclaré: «Le gouvernement avait en fait récupéré à Kecksburg les restes d'un satellite russe mais tous les documents de l'époque ont été égarés au début des années 1990...» La thèse officielle, à l'époque des faits, était celle de la chute d'une météorite. La NASA affirme aujourd'hui qu'il s'agissait d'un satellite russe. Les débris métalliques retrouvés à Lapeer seraient des leurres radar en aluminium fréquemment utilisés par les chasseurs de l'US Air Force. Robert Bitner et son chef assistant, James Mayes, racontent leur histoire à des enquêteurs privés, Clark McClelland et Stan Gordon: Le soir, les deux hommes pénètrent dans les bois. Ils s'attendant à trouver les débris d'un avion écrasé, ils découvrent en fait un objet de forme conique d'environ 3,30 m de haut planté dans le sol.

Les arbres sont décapités, les buissons sont écrasés, mais l'engin est quasiment intact et n'a aucune trace de combustion. On peut voir à sa base un cercle sur lequel est inscrite une suite de symboles graphiques... Le cas Kecksburg a été rapporté dans les dossiers du projet "Blue Book". Il est indiqué: "Une équipe de trois hommes a été expédiée pour étudier et prendre un objet qui a déclenché un incendie." Cette équipe était composée de membres du projet "Moon Dust" chargés de récupérer des objets venus de l'espace, un projet alors totalement confidentiel. L'ouvrier ayant affirmé qu'un engin étrange a été livré à la base de Wright Patterson a été reconduit par un garde hors de l'enceinte qui lui a dit «Vous avez juste vu un objet qui sera connu de tous d'ici une vingtaine d'années...» James Mayes a expliqué comment les militaires ont dressé un cordon autour des bois et avaient établi une base provisoire complète incluant les télécommunications. Le chef des pompiers, Robert Bitner, ayant confirmé cette histoire, a également dit qu'il avait vu un objet de 1,8 m de haut, 2 m de large et environ 5 m de long, donc pas du tout un avion. L'engin reposait comme si il avait effectué sa chute presque horizontalement. Peter, un autre pompier, a indiqué avoir vu un anneau de butoirs portant des pictogrammmes. Le chercheur Ray Boeche a fait une demande pour obtenir les informations déclassifiées sur l'incident. En 1985, il a obtenu 30 pages d'informations totalement insignifiantes. Une note précisait qu'une équipe de trois hommes avait été expédiée sur le site "pour récupérer un objet". La rapport concluait: «L'OVNI était un météore...» Puis, on a proposé la théorie de la chute d'un satellite russe (Cosmos 96).

La NASA a publié des données indiquant que Cosmos 96 s'est bien écrasé le 9 décembre 1965 à 3 h 15, l'accident de Kecksburg a eu lieu 13 heures plus tard. La base de Wright Patterson AFB est une base réputée pour enrteposer des débris de crashs d'engins venus de l'espace. Un porte-parole de la NASA a affirmé qu'il n'y a aucune dissimulation: «L'OVNI était un satellite russe, mais les dossiers gouvernementaux et les documents ont été perdus dans les années 1990». Nicholas L. Johnson, un scientifique analysant les débris orbitaux à la NASA, a déterminé, après avoir étudié les trajets orbitaux des satellites connus et d'autres dossiers "secrets" de 1965: «L'objet n'a pas pu être un satellite russe ni n'importe quel autre objet construit par l'homme...» Le mardi 22 octobre 2002, un ancien chef du personnel de la Maison Blanche et un journaliste international veulent savoir ce que le Pentagone sait, l'invitant à publier les dossiers secrets sur le crash de Kecksburg et sur d'autres incidents impliquant des objets volants non identifiés (ou OVNI). Pour John Podesta, l'ex-adjoint de Bill Clinton, «Il est temps pour le gouvernement de rendre public les dossiers qui ont plus de 25 ans et de fournir à des scientifiques les données qui aideront à déterminer la vraie nature de ce phénomène...»


Les témoignages de phénomènes aériens étranges qui défient les explications sont très nombreux, habitants, pilotes de chasse, pilotes de compagnies aériennes, policiers, pompiers... John Podesta a, avec des médias réunis à Washington D.C., annoncé une nouvelle association pour accéder aux dossiers secrets du gouvernement au sujet des OVNI. La CFI (Coalition for Freedom of Information) presse l'Armée de l'Air afin d'obtenir des documents impliquant les programmes "Moon Dust" et l'opération "Blue Fly", programmes clandestins ayant existé il y a des décennies pour étudier les OVNI et pour retrouver des objets d'origine inconnue. Cette nouvelle initiative ne vise pas à prouver l'existence des extraterrestres. Le groupe veut plutôt rendre légitime la recherche scientifique sur les phénomènes aériens inexpliqués. Car outre Roswell (1) et Kecksburg, il y a eu bien des cas mystérieux... Le groupe veut accéder aux dossiers en vertu de la FOIA (Loi sur la Liberté de l'information - Freedom of Information Act).

Selon Leslie Kean ayant énormément écrit sur le sujet: «Dans les années 1940, 1950 et 1960, le gouvernement [des États-Unis] a pris la recherche sur les OVNI au sérieux. Les généraux les plus hauts placés ont pesé le pour et le contre sur le fait d'informer le public. En 1969 [Apollo 11, étrange, ndlr], l'Armée de l'Air a mis fin au programme Blue Book, concluant qu'aucun OVNI rapporté n'était une menace pour la sécurité nationale... Pourtant, les militaires continuent à bloquer certaines demandes d'information sur les OVNI prétextant des problèmes de sécurité nationale. Il y a bien des phénomènes étranges dans le monde. La plupart des gens pensent que cela n'existe pas parce qu'ils ne veulent pas chercher. Il y a une réelle fermeture d'esprit au sujet des extraterrestres dans notre culture. Il est difficile d'aboutir à quoi que ce soit dans un tel contexte...»



OVNI: L'affaire du crash de Kingman

Mise en ligne: Lundi 20 août 2012

Le 21 mai 1953, au soir, un groupe est escorté à un canyon près de Kingman dans l'Arizona. Des projecteurs éclairent un étrange objet enfoncé dans le sable. L'engin mesure environ 9 m, il est apparemment en aluminium. L'objet est enfoncé dans le sol de 50 cm avec un angle aigu. Il est gardé par des patrouilles militaires. Un certain Fritz Werner est chargé d'estimer la vitesse d'impact de l'objet. À l'intérieur de l'engin, on distingue 2 chaises pivotantes dans une cabine de forme ovale équipée de nombreux instruments. Une tente est dressée à proximité pour cacher la dépouille de l'unique occupant. Fritz Werner remet son rapport puis il est reconduit dans le bus aux vitres teintées. Avant son départ pour le Nevada, avant de monter dans le bus, il a jeté un coup d'oeil rapide dans une tente. Il a alors aperçu un être -visiblement pas humain- mesurant 1,20 m, dont la peau était d'aspect marron, portant une combinaison argentée ainsi qu'une calotte. Fritz Werner a signé une déclaration le tenant au secret mais n'a pas cru un seul instant qu'il s'agissait d'un avion à réaction top-secret américain comme l'a prétendu l'armée. Il a alors contacté Ray Fowler dans l'espoir d'en savoir plus.

Malheureusement, celui-ci fut incapable de l'aider. En 1953, aucun OVNI terrien n'aurait pu s'écraser à Kingman pour une bonne raison: à part l'Avro VZ-9V, il n'y en avait pas et l'Avro VZ-9V n'a jamais dépassé les 2 mètres d'altitude. Il ne pouvait pas non plus d'agir de l'OVNI de Spitzberg repéré par des jets en Norvège en 1952, une soucoupe de 150 m de diamètre avec une bulle en plexiglas et propulsée par 46 réacteurs (en cours de fabrication !) autour de son rebord circulaire. C'était un canular qui ne pouvait pas être pris au sérieux. Revenons à Kingman. 4 ans plus tard, Leonard Stringfield a recueilli le témoignage d'un 2e témoin semblant confirmer la version de Werner. Le témoin est un ancien pilote de la garde nationale et était, dans les années 1950, affecté à la base aérienne de Wright-Patterson (Dayton, Ohio). Dans les années 1948 à 1969, cette base était également le siège d'un projet de recherche sur les OVNI mis en place par le gouvernement américain ainsi que celui de la FTD. Selon le pilote, au cours de l'année 1953, des caisses contenant des débris récupérés dans le désert d'Arizona sont arrivés à la base de Wright-Patterson. À l'intérieur se trouvait les corps de 3 êtres étranges mesurant environ 1,20 m, pourvus de grosses têtes, d'une peau d'aspect marron et mis dans des conteneurs de neige carbonique. D'autres caisses sont arrivées contenant divers morceaux d'épave. Le pilote n'a pas pu examiner leur contenu mais il avait remarqué que certains débris portaient des symboles proches du sanskrit. Tout cela ressemble aux crashs de Roswell ou de Kecksburg...

Le récit de l'accident d'OVNI près de Kingman a été fait par le chercheur Richard Hall (un ancien du NICAP) en avril 1964. La récupération de l'OVNI de Kingman a été ensuite rendue publique par Raymond Fowler en Juin 1973 citant un ingénieur ayant pris des mesures pour évaluer la vitesse de l'engin s'étant écrasé ("reverse-engineering"). L'ingénieur n'était autre que Arthur G. Stancil, connu sous le pseudonyme "Fritz Werner". Arthur G. Stancil était, en 1949, diplômé de l'Université de l'Ohio et en poste à l'Air Material Command à la base aérienne de Wright-Patterson à Dayton dans l'Ohio comme ingénieur mécanicien sur les moteurs d'avions d'essai de l'Armée de l'Air. Le Dr. Eric Wang, suspecté de commander une équipe de désossage de l'engin extraterrestre, dirigeait la Division des Installations au bureau des études spéciales où Arthur Stancil travaillait... Arthur G. Stancil (Fritz Werner) a signé une déclaration sous serment garantissant légalement l'honnêteté de son témoignage, lequel a été publié par Ray Fowler en avril 1976. Stancil a été affecté temporairement à la Commission de l'Énergie Atomique en tant qu'ingénieur de projets sur des essais de bombes atomiques ("Operation Upshot Knothole"). Les essais se déroulaient à Frenchman's Flat près de la zone d'essai du Nevada sous la direction du Dr. Ed Doll. Le 21 mai 1953, Stancil fut appelé pour effectuer une tâche particulière à la base aérienne d'Indian Springs.


Arthur G. Stancil (Fritz Werner) a été rejoint par 15 autres spécialistes. Ils ont été transportés en avion militaire vers Phoenix où ils sont montés à bord d'un bus aux vitres opaques et ont voyagé près de quatre heures. Quand ils sont arrivés au sud-est de Kingman, ils ont reçu des instructions d'un colonel de l'Armée de l'Air leur ayant dit qu'ils devaient étudier un engin d'essai ultra secret accidenté. Il leur était interdit de communiquer entre eux "quelles que soient les circonstances". Stancil devait déterminer les vitesses (horizontales et verticales) de l'engin au moment où il s'est écrasé. Stancil a ensuite été escorté vers le lieu du crash par la police militaire. Deux projecteurs éclairaient la soucoupe. Celle-ci semblait formée de deux plats convexes ovales inversés l'un au-dessus de l'autre, d'approximativement 9 mètres de diamètre. La soucoupe était enfoncée dans le sable d'environ 50 cm. Stancil avait déterminé que la soucoupe s'est écrasée à une vitesse d'environ 185 km/h, pourtant elle n'avait ni bosselures, ni marques, ni éraflures sur sa surface. L'OVNI était en métal argenté mat ressemblant à de l'aluminium brossé. Un autre spécialiste a pu regarder à l'intérieur de l'engin (une trappe était ouverte), il a vu la cabine intérieure de forme ovale.

Elle comportait deux sièges pivotants et de nombreux instruments. Stancil a vu le corps d'une d'un passager (ou pilote): Un humanoïde, d'environ 1,20 m, avec une peau brune et une tenue argentée et ajustée. Lors du retour au bus, ils ont dû signer un engagement de "respect du secret", on leur demanda de ne jamais rien dire sur ce qu'ils ont vu. Fowler a vérifié l'intégrité de Stancil, les gens qui le connaissaient ont affirmé que c'est un homme d'une très grande intégrité et ayant des compétences scientifiques considérables. Un autre témoignage semble confirmer ce crash d'OVNI près de Kingman, il est parvenu à Len Stringfield en 1977. Un individu, en poste à la garde nationale de Wright-Patterson, a affirmé qu'il a été témoin d'une livraison provenant du lieu d'un accident en Arizona en 1953. Il a vu 3 corps qui ont été récupérés et ont été emballés dans de la glace. Les extraterrestres avaient une grande tête, mesuraient environ 1,20 m et leur peau était brunâtre. Une autre histoire, presque semblable, a été rapportée au chercheur Charles Wilhelm en 1966: Un homme a déclaré que son père lui avait fait le même récit sur son lit de mort. En 1995 un homme, qui se faisait appeler Jarod-2, a rapporté qu'il avait travaillé pour l'US Air Force sur un projet secret, une tentative de construire un simulateur de soucoupe en vol. Le projet avait été entrepris avec du matériel récupéré sur les lieux des accidents de Roswell et Kingman.

Stancil a travaillé sur des systèmes d'avionique pour Raytheon à Sudbury dans le Massachusetts dans les années 1970. Difficile de dire s'il a étudié la technologie extraterrestre, ce qui serait possible vu qu'il a travaillé pour le Dr. Wang, un Autrichien diplômé de l'Institut Technique de Vienne et associé de Victor Schauberger, celui qui aurait développé un concept de disque volant (de turbine), et aurait, dès 1941, travaillé sur le programme allemand de soucoupe volante. Wang a enseigné la technologie structurale et métallurgique à l'université de Cincinnati de 1943 à 1952. Wang aurait examiné des OVNI accidentés ayant été récupérés et les auraient comparés aux soucoupes du programme V-7 allemand. Wang aurait conclu à la nature extraterrestre de ces engins. En 1949, il fut directeur du département des études spéciales à Wright-Patterson où il a travaillé avec des scientifiques, avec le Dr. Vannevar Bush et des responsables du bureau de recherches et de développement. Le Dr. Wang a déplacé des bureaux de recherches de Wright-Patterson à Kirtland à Albuquerque au Nouveau Mexique. Il est décédé le 4 décembre 1960. Or, Leonard Stringfield, qui a rouvert le dossier des récupérations d'OVNI, a mentionné le témoignage d'un officier qui avait vu des corps provenant d'un accident qui s'est produit dans le désert de l'Arizona en 1953. Il a vu les corps à Wright-Patterson quand les caisses sont arrivées la nuit à bord d'un DC-7. Il y avait cinq caisses, trois d'entre elles auraient contenu de petits humanoïdes, des extraterrestres d'environ 1,20 mètres. Des chercheurs ont alors suggéré que ces corps pourraient provenir de l'accident relaté par Stancil. Nous en revenons à ce que bien des gens prétendent, les militaires auraient bien tenté de copier la technologie extraterrestre lors de crashs d'OVNI pour fabriquer des engins de guerre "secrets". Il fallait donc cacher au public ces crashs d'OVNI.


Texte © by Michel Mahler - Le Réveil des Marmottes

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