Via Domitia - Les Cluses - Las-Illas - Riunoguès - Fontfrède

Vendredi 2 août 2013 - Mises à jour: Jeudi 15 oût 2013 - Mardi 20 août 2013

En principe ôté, ce vendredi 2 août, nous devions juste aller au Perthus chercher des cigares. Mais, foi de Nounours, quand je le vis mettre deux bouteilles de soda et des biscuits dans les sacoches de l'Eliminator, je savais que la balade au Perthus allait me réserver des surprises. Mon pilote me dit: «Nounours, tu es bien accroché ? Nous allons passer par La Cluse-Basse par la route de Maureillas-las-Illas, ça nous fera un sacré raccourci...» Le raccourci a bien commencé puisqu'au premier croisement après le rond-point à l'entrée de Maureillas-las-Illas, il prit à droite. Non, pas la route de la Cluse-Basse allant au Col du Perthus (c'eût été trop simple) mais celle allant au hameau Las Illas. «Tu n'as pas envie de voir à quoi ressemble ce hameau Nounours ?» - «Bon, allons-y !» lui répondis-je. Mais le hameau est très éloigné de Maureillas. Maureillas-las-Illas est une commune de 4210 hectares, frontalière avec l'Espagne, étendue sur un vaste territoire accidenté, allant du Pic de Les Salines (Vallespir) jusqu'au Perthus, à l'est du Pic del Priorat, à la limite avec le Massif des Albères. Le pic des Salines (ou pic de Les Salines, Puig de les Salines ou Puig de les Pedrisses) est un sommet des Pyrénées-Orientales marquant la frontière entre l'Espagne et la France... «C'est là-haut qu'on monte ? Bravo pour le raccourci !» fis-je remarquer à mon pilote complètement destroy avec cette chaleur qui faisait fondre mon Eliminator. Les jus de fruit cuisaient dans les sacoches et mon pilote était déjà pas mal ratiboisé, il était obligé de boire très souvent.


Maureillas comprend la commune de Saint-Martin-de-Fenollar (14 décembre 1822). Maureillas a fusionné avec Las Illas et Riunoguès en 1972 pour former une nouvelle commune: Maureillas-las-Illas (20 juin 1972). Le nom de la commune en français vient du catalan "Les Cluses". La commune s'appelait L'Écluse jusqu'au 19 novembre 1984. Le nom "Les Cluses" vient de "clusa" qui signifie "verrou". Pendant la période romaine (vers -118 avant J-C), Claususrae se situait sur la Via Domitia. Les Cluses devient une commune en 1790. Le 1er février 1837, Les Cluses a fusionné la avec la commune de L'Albère pour former Le Perthus. Les Cluses redevient indépendante le 29 novembre 1837. Le 29 avril 1851, un morceau de territoire lui fut amputé (ainsi qu'à la commune de L'Albère) afin de former définitivement la nouvelle commune du Perthus. La fusion a été définitivement validée le 12 octobre 1976. Normalement, pour aller au Perthus, on prend la D900 (Perpignan) ou la D13B (Maureillas-las-Illas). Et nous voilà engouffrés sur une petite route de montagne dont je devinais déjà les précipices redoutables. La montée a plutôt bien commencé, après un pont où il a naturellement pris Nounours en photo, au premier croisement, mon pilote me hurla: «T'as vu ce panneau Nounours ? On y va ?» - «Continue à photographier les ponts et laisse ça de côté. Non mais...» Là, les choses se sont corsées. Il faisait horriblement chaud et il y avait un vent assez fort. Or, la route longe des précipices de plus en plus redoutables. Inutile de vous faire un dessin, regardez simplement le diaporama. Nous avons vu deux voitures de croiser devant nous, hallucinant. Il a stoppé la Kawa et a laissé les voitures se croiser et ça en a mis du temps.

Nous arrivons enfin à Las Illas. Pourrait-on imaginer que là-haut, en pleine montagne, il y a un si joli hameau ? Je croyais qu'on roulait d'habitude sur ces ponts enjambant les torrents... «T'as envie de voir un pont du dessous Nounours ?» - «Tu aurais peut-être dû le laisser aller voir les nudistes mon brave Nounours...» me suis-je murmuré. Nous continuâmes à monter jusqu'au bout du hameau, il n'y avait apparemment plus de route, nous fîmes donc demi-tour et nous redescendîmes vers Maureillas. «Tu as vu le panneau ? C'est là, pile en dessous. Tu ne veux pas y aller ?» - «Laisse tomber Nounours. Je suis trop déglingué maintenant...» En effet, je ne l'ai jamais vu avoir autant de mal pour descendre et remonter sur la moto. Et se désaltérer avec du soda bouillant, ça ne rafraîchit guère... Revenus au croisement de Maureillas, il voulut encore prendre une autre route, vers Riunoguès. Je l'ai sermonné: «Tu as pris un sacré coup de soleil cher pilote... Allons au Perthus avant que tout soit fermé par ce fameux raccourci...» - «Je crois que tu as raison Nounours...» Nous prîmes donc enfin la route de La Cluse-Basse, nous arrivons au passage à gué et au Mas d'en Forcade, nous sommes déjà au croisement de la D900 (Perpignan, Le Boulou) quasiment à la hauteur du Laëtitia. Il ne nous reste plus que 3 km et nous sommes au Perthus. Mon pilote alla acheter deux autres bouteilles de soda (frais), il but un bon coup et nous redescendîmes vers le Laëtitia jusqu'au croisement de La Cluse-Haute. «Pourquoi bifurques-tu à droite ? Le croisement de La Cluse-Basse, c'est plus bas et à gauche !» - «Nous allons visiter La Cluse-Haute Nounours...» Nous nous arrêtâmes au village sur un très joli pont et il me dit: «Regarde cet écriteau Nounours. Il indique: "église Sainte-Marie" et "Via Domitia"... Nous y allons...» Par le Grand Grizzly, la route est encore plus vertigineuse que la précédente à Las Illas. Nous survolons (et ce n'est exagéré) la D900 (Le Boulou, Le Perthus). De l'autre côté, on voit Céret jusqu'au Boulou et la Méditerranée. La route est impressionnante, les précipices aussi. Nous commençâmes à voir les ruines, il arrêta la moto tout près, il n'avait plus loin à marcher pour aller les visiter mais c'est très chaotique, plein de rochers et sur des monticules. «Au stade où j'en suis, si je rends l'âme ici, enterre-moi dans les ruines avec les Wisigoths et des Romains....» - «Et je rentrerai comment, moi ?» - «Tu vois Nounours, tu devrais apprendre à piloter la Kawa...»

Encore plus haut, nous arrivâmes à l'église Sainte-Marie-de-la-Cluse-Haute (du Xe siècle) et à l'autre bout du hameau (à je ne sais combien de kilomètres du bas) en longeant l'autoroute de Barcelone au sommet du massif. C'est totalement hallucinant. Une autoroute passant au sommet d'une montagne sur des viaducs à vous couper le souffle à côté d'une voie romaine, de ruines romaines et d'une église du Moyen-Âge, il n'y a que dans les Pyrénées-Orientales qu'on peut voir ça. Mais pour le raccourci, nous avons fait trois fois plus de kilomètres -pour aller chercher des cigares au Perthus- qu'en passant par Le Boulou. Le pire, c'est qu'il n'en a fumé aucun durant toute notre épopée. Au sommet, nous aurions pu prendre l'autoroute, notre petite route sinueuse passait juste à côté. C'est là qu'il fit demi-tour, «Nous retournons au Perthus Nounours. Souviens-toi, nous avions déjà fait ce tronçon dans l'autre sens. Regarde, nous sommes tout près de la pyramide...» Nous aurions été plus vite en retournant au Perthus mais il voulut absolument redescendre cette route survolant littéralement par endroits la D900 (la route "normale" du Col du Perthus).

Où étions-nous exactement ? À plusieurs époques en même temps. Sur les ruines d'une forteresse datant des Wisigoths et des Romains. Des vestiges de fortifications romaines comprenant le fort de La Cluse-Haute sur la rive de la rivière Rome. Le château "des Maures" ou "castell dels Moros" qui dominait la Via Domitia (voie romaine), le château avait une forme de trapèze de 80 mètres de large et 140 mètres de long et comportait 3 tours carrées. La porte des Cluses se trouvant sur la Via Domitia (voie domitienne). L'église Sainte-Marie-de-la-Cluse-Haute, un joyau de l’architecture préromane et romane, fut construite au Xe siècle, elle se compose de trois nefs voûtées en plein cintre outrepassé s’ouvrant sur trois absidioles semi-circulaires voûtées en cul-de-four. Une arche subsiste à l'extérieur. Au sommet, j'ai cru que mon pilote voulait emprunter la Via Domitia (voie romaine) dont nous avions visité un tronçon au site de Panissars (Trophée de Pompée). En 71 avant J-C, le site de Panissars ("Summum Pyrenaeum") était le point de jonction de la Via Domitia (1) et de la Via Augusta. Les Romains sont arrivés en Espagne vers 218 avant J-C. La Via Augusta (reliée à la Via Domitia) allait de Cadix à Rome (2 725 km). Les routes et les autoroutes construites par la suite suivent le tracé des voies romaines. Au sommet, nous étions pile à côté de l'autoroute A9 Perpignan / Barcelone, dans les ruines de la forteresse datant des Wisigoths et des Romains, des vestiges des fortifications romaines, le fort de La Cluse-Haute et du château "des Maures" ou "castell dels Moros" sur la Via Domitia (voie romaine) dont l'autoroute longe effectivement le tracé. C'est totalement surréaliste. Il y a également des vestiges préhistoriques. Normalement, mon pilote devait chercher le dolmen de la Siureda datant de la préhistoire, nous le chercherons une prochaine fois. J'ai voulu poser devant un étrange -et insolite- panneau de circulation: "Via Domitia" avec un char romain dessiné dessus. Mon chevalier romain avait acheté des prunes au Perthus pour se réhydrater. Au bout de quelques kilomètres, sous cette chaleur infernale, les prunes étaient cuites. Mon pilote également.

(1) La voie Domitienne (Via Domitia) est une voie romaine construite à partir de 118 avant J-C pour relier l’Italie à la péninsule Ibérique en traversant la Gaule. Selon la légende, la voie Domitienne reprendrait un itinéraire créé par Héraclès (Hercule), la voie Héracléenne. La Via Domitia a été construite afin de rendre cohérent un réseau de voies existantes à l’instigation du général romain Cneus Domitius Ahenobarbus dont elle porte le nom. Cette route devait assurer les communications avec Rome et permettre l’installation et la circulation de garnisons protégeant des villes devenues romaines. Bien que destinée à la circulation des légions romaines, elle fut rapidement empruntée par les marchands. Plus tard, ce sont les fonctionnaires de la République de Rome puis de l’Empire qui l’utilisèrent. Le tracé de la Via Domitia est presque rectiligne sur des terrains solides. L'observation des cartes topographiques révèle le parcours qu'elle empruntait. Les routes modernes empruntent encore souvent le tracé de la Via Domitia. Dans les villes qu’elle traversait, elle était pavée ou dallée. La voie était ponctuée de bornes correspondant à nos actuels panneaux, indiquant les distances entre la borne et les villes voisines. Plus de 90 bornes ont été recensées sur le tracé de la Via Domitia. Quand la voie entrait dans une ville, elle traversait généralement une enceinte en passant sous une porte ou un arc de triomphe.

Le jeudi 15 août 2013, nous sommes allés à Riunoguès. Nous cherchions le dolmen de Siureda, nous avons trouvé un petit sentier de randonnée à Riunoguès, impraticable même avec la Kawa Eliminator de Nounours. 3 heures 40 de marche, impossible pour mon pilote. Il doit y avoir un autre chemin carrossable menant assez près du dolmen et de la Tour Bel-Oeil. Nous avons donc visité ce hameau attaché à Maureillas, dans le massif des Albères, et la chapelle Saint-Miguel de Riunoguès (Saint-Michel de Riunoguès). L'église est dédiée à Saint Michel, il s'agissait autrefois d'une paroisse indépendante mais depuis 1972, la commune a fusionné avec celle de Maureillas. L'église Saint-Michel de Ruinoguès est une église pré-romane composée d'une nef unique terminée par une abside rectangulaire. Elle contient un retable de Saint-Michel datant de 1739. L'église Saint-Michel date des IXe et Xe siècles, avec une toiture recouverte de grosses dalles grises (une rareté). Elle abrite le "Banc de justice" et un curieux retable sculpté de 1739. L’église, mentionnée trois fois au Xe siècle, est classée monument historique depuis le 14 février 1989... Par la route "normale", pour aller d'Arles-sur-Tech à Maureillas-las-Illas, il y a 19 km. Ce jeudi, nous avons fait environ 100 km en passant par Céret, le massif des Aspres, le Col de Llauro, Oms et Taillet pour revenir à Reynès situé à 6,5 km de Céret. Comme nous perdons beaucoup de temps pour prendre des photos, pour visiter les églises, les ponts, les chapelles
et les lamas, pour nos arrêts boisson et grignotage, en ayant démarré à 10 heures d'Arles-sur-Tech, nous sommes rentrés vers 20 heures à mon fan-club: Le Fan-Club de Nounours au bar Le Central à Arles-sur-Tech. Mais c'est ça les balades "découverte". 30 photos de Riunoguès ont été ajoutées au diaporama "Via Domitia - Las Illas - Les Cluses".


Le mardi 20 août 2013, vu l'état général de mon pilote, je lui ai conseillé d'aller uniquement chercher ses cigares au Perthus en prenant tout son temps, ça suffirait pour maintenir son moral au beau fixe par une si belle journée. «Tu es un grand sage Nounours, allons simplement au Perthus...» Mais le jour où mon pilote m'écoutera n'est pas encore venu. Par Maureillas et La Cluse-Basse, on gagne près de 20 km pour aller d'Arles-sur-Tech au Perthus. Au retour, arrivés à Céret en direction d'Amélie-les-Bains et d'Arles-sur-Tech, il me dit: «Tu n'as pas envie de voir où mène cette route Nounours ?» À un croisement, nous prîmes donc à gauche vers Le Ventous (1) et nous montâmes jusqu'au Col de la Brousse. Vu sa tremblote, je ne sais pas comment il fait pour garer ma Kawasaki aussi près des ravins. Sur une photo, vous comprendrez pourquoi je me suis écrié: «Mon brave Nounours, il veut nous auto-suicider tous les trois (avec mon Eliminator) !» Mon pilote a dirigé la Kawasaki directement dans le vide au-dessus de Céret. «Tu as vu ces paysages Nounours ? Regarde la Méditerranée. Aujourd'hui, on la voit bien !» - Il a stoppé la moto à 10 cm du vide. «Je te signale que le vol libre (les Ailes du Vallespir, parapente), c'est plus haut !» - «Je sais Nounours. Mais rassure-toi, je n'ai pas envie de plonger sur Céret à la verticale avec ta moto !» - «C'est ça ! Joue au téméraire, on entend tes os claquer dans toute la vallée. Tu vas faire comment pour descendre de la Kawa pour prendre les photos et remonter dessus ? Hein ?» (petit rappel: mon pilote a un vertige hallucinant à... 50 cm de haut !)

Sur la route du col, nous avons croisé un troupeau de béliers avec des cornes redoutables (mais parfaitement inoffensifs, rassurez-vous, il en a même caressé deux) à la tète de leurs harems de chèvres et leurs chevreaux. Des chèvres sont venues saluer Nounours, l'intrépide chevalier à moto des Pyrénées. Des promeneurs sont venus me voir: «C'est un Nounours musicien !» (en voyant ma mini guitare électrique). Ces charmantes bêtes vivent en toute liberté dans les majestueuses forêts de montagne et connaissent parfaitement les chemins et les routes, elles rentrent toutes seules à la ferme guidées par des chiens de berger. C'est aussi cela la magie des balades dans les Pyrénées, on fait des rencontres vraiment insolites (
par exemple, des lamas). Pas question de jouer au motard pressé voulant frimer sur les grands axes, ces charmantes bêtes sont chez elles, il faut leur laisser la priorité. Ces animaux ont plusieurs utilités: les paysans vendent leurs produits directement de la ferme au visiteur mais ces charmantes bêtes déambulant en toute liberté en montagne nettoient admirablement la forêt très dense dans les Pyrénées-Orientales... Plus haut, en continuant la minuscule route du Col de la Brousse, nous avons croisé des vaches, se baladant elles aussi en toute liberté. Puis, au Col de Fontfrède, nous nous sommes arrêtés à un monument rappelant que depuis 1940, il y a eu beaucoup de résistants dans les Pyrénées-Orientales. Ces Catalans passaient les cols dès 1940 pour rejoindre les forces alliées. Une inscription nous le rappelle: «Juin 1940 - Juin 1944 - Par delà cette montagne, les évadés de France rejoignirent l'Armée de Libération»... De tels endroits méritent un très très grand respect en souvenir de ces femmes et de ces hommes.

Nous avons continué la route du col pour rejoindre la fontaine de Fontfrède. Il y avait beaucoup de promeneurs, l'endroit est féerique, arrangé avec énormément de soin (bancs, sentiers, etc...), c'est un carrefour de sentiers de randonnées au milieu d'une forêt superbe, avec une vue sur les massifs des Pyrénées plongeant vers la mer Méditerranée. Les promeneurs peuvent remplir leurs bidons à cette fontaine en montagne. La route se transforme ensuite en pistes pour randonneurs. J'ai interdit à mon pilote de prendre un de ces chemins pour aller au Pic des Salines, il n'aurait pas pu tenir mon Eliminator sur ces chemins même pas carrossables. «OK Nounours. Faisons une pause à la fontaine de Fontfrède -il y a quatre bouteilles dans les sacoches de l'Eliminator- et ensuite, nous rentrerons à Céret.» Au croisement de ces minuscules routes (où nous avions rencontré les vaches), il voulut prendre la petite route retournant à Maureillas-las-Illas. «Obéis-moi, tu es complètement vidé, prends la petite route allant à Céret...» - «OK Nounours, c'est toi le chef...» me répondit-il. - «Tu as assez vu de magnifiques paysages aujourd'hui. Les massifs des Pyrénées: grandioses ! La vallée de Céret vue d'en haut jusqu'à la mer Méditerranée et le massif des Albères plongeant dans la Méditerranée (que l'on voit d'en bas sur la route du Boulou à Argelès-sur-Mer mais là, nous admirons ce panorama d'en haut)...» lui rétorquai-je. - «Tu as toujours raison Nounours. Rentrons à Céret, il commence à se faire tard, nous nous arrêterons à ton fan-club à Arles-sur-Tech où j'irai chercher une spécialité catalane en face, j'ai une petite fringale...» Durant cette balade improvisée entre les Pyrénées-Orientales et l'Espagne (la Catalogne), nous avons trouvé un chemin pour aller au dolmen de Siureda à Maureillas et à la Tour Bel-Oeil. Nous avons établi la carte, nous vérifierons si nous pouvons passer avec ma Kawa un autre jour mais mon Eliminator (une custom de route) grimpe -presque- partout... 32 photos prises ce mardi 20 août du Col de la Brousse et de la fontaine de Fontfrède ont été ajoutées au livre à pages tounantes (comptant désormais 71 pages soit environ 142 photos).

(1) Ne pas confondre avec le Mont Ventoux, un sommet de 1911 mètres, le point culminant des monts du Vaucluse et le plus haut sommet du Vaucluse constituant la frontière linguistique entre le Nord et le Sud-Occitan. Le Ventous (sans "x") se trouve dans les Pyrénées-Orientales.

© 2013 by Michel Mahler - Le Réveil des Marmottes


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