Dossier

du RdM

Exils en Alsace, en Suisse, en Bretagne et dans l'Allier

En 1998, Je remonte mon studio d'enregistrement en adaptant mes concepts informatiques inventés pour Studio Caroline aux nouvelles technologies. Je compose «Vers un autre Monde» à Grésy-sur-Isère, je voulais enregistrer une symphonie cosmique composée au début de Studio Caroline et que les moyens technologiques ne me permettaient pas d'enregistrer. Désormais, c'était possible... Mais... Mes amis de Savoie ont été contactés et le maire de Grésy-sur-Isère me convoque à la mairie, il me montre une lettre qu'il a reçue de gens qui veulent me casser par tous les moyens. Il me prévient: «Ces lettres sont envoyées partout, aux procureurs, aux juges, aux élus et même aux flics.» Le coup fatal ne viendra pas de la Savoie mais de mon département natal: La Moselle. Le studio est à peine installé en Savoie que ma sœur (Frieda George) et ma nièce (Marie George), avec quelques complices sur place, vont tout faire pour me convaincre de revenir à Saint-Quirin en Moselle. On me tend un traquenard et j'y plonge... Je ne sais pas encore à ce moment que ma propre sœur a signé un pacte avec le Diable, Jean-Pierre Masseret, qui a peur de mon retour à cause de ce que j'ai vu à Metz en 1972 alors que je faisais des spectacles dans les discothèques, a tout préparé pour me broyer. Une "réunion" a été organisée à la mairie de Grésy-sur-Isère avec Hervé Gaymard, «Comment se débarrasser de ce Mahler». En 1999, je vends ma maison à Grésy-sur-Isère et je retourne avec les appareils du studio à Saint-Quirin en Moselle où je compte tout remonter et terminer "Vers un autre monde". Le traquenard est prêt pour me broyer. J'ai sans doute fait la plus grande sottise de ma vie mais je ne pouvais pas croire que ma propre sœur était capable de cela. En 1999, je trouve une maison à Biberkirch (Troisfontaines) en Moselle où je compte installer le studio. Cela ne se fera pas pour des raisons trop longues à expliquer ici. Je me reporte sur la grange de la ferme familiale à Saint-Quirin, ma "part" d'héritage évaluée par la notaire à 100 000 Francs (au même prix que la belle maison d'habitation, la part de ma sœur, qui me spoliera avec la complicité de la notaire de Lorquin de tout le reste de mon héritage). J'aménage la grange en maison et y installe le studio qui est opérationnel en 2000.

On va mettre la dernière note à une symphonie particulière. On me menace, on me fait des chantages diaboliques, une réunion a même été organisée à la mairie (avec moi) pour me faire un chantage ahurissant: je devais arrêter immédiatement le Réveil des Marmottes. Ma sœur fait enfermer ma mère huit fois, elle lui administre des "médicaments" (dont de la morphine) qu'elle dérobe à l'hôpital Saint-Luc. Je suis enfermé, sans électricité, sans chauffage, dans la maison de ma mère dont ma sœur a les clés avec une lampe de poche gracieusement par la mairie, au yeux des gendarmes. C'est un des hivers les plus rudes, je réussis à m'échapper et à regagner ma maison où ma sœur a réussi a faire couper l'électricité. On me retrouvera inanimé dans mon studio par moins 15°. Ma chère sœur avait déjà tenté de m'empoisonner en 2001, c'est mon ex-épouse qui me retrouvera quasiment sans vie et qui me conduira à l'hôpital. Alors que j'étais effondré dans le studio, tordu de douleur, ma sœur me hurla: «Ha ha ha.. Tu vas voir ce que c'est de mourir étouffé...» (je venais de faire mon premier infarctus sévère et l'œdème pulmonaire avait été décelé par un cardiologue en 2001). Les gendarmes de Lorquin ont "étouffé" l'affaire. Mon beau-frère meurt étrangement en 2005, je ne l'apprendrai que plus de deux mois plus tard à un bar. En 2003, ma sœur, aidée par la commune, a détruit plus de 80 originaux des mes musiques (sur le site, ce sont des copies). En 2004, je vends ma maison et on me vole l'argent de la vente. C'est alors une fuite pour échapper à ma propre sœur, à ma nièce et à leurs complices, à Masseret, etc... Je vais vivre d'exils en exils, partout où je me réfugie, ces monstres me retrouvent et tout recommence. Ma sœur avait annoncé ma "disparition" deux fois, me croyant mort, persuadée que je m'étais enfin "suicidé"...

En 2004, je m'installe à Abreschviller (Moselle) où je suis tout simplement tabassé. La toubib et les gendarmes de Lorquin étouffent l'affaire. Une autre magouille est mise en place pour me spolier ce qui me reste de la vente de ma maison, avec la complicité de ma banque, d'un juge, d'un huissier (Wolf) et d'un agent immobilier, mon compte est vidé. En 2005, je me réfugie à Sarrebourg où je suis une nouvelle fois agressé et les grands moyens sont mis en œuvre pour que je me "suicide"... Ma mère meurt en 2005, je ne l'apprendrai que le jour de son enterrement. En 2006, je me réfugie in extremis à Colmar en Alsace. En plein dans la gueule du loup. Un amie de ma sœur m'héberge dans une cave humide sans sanitaire en rédigeant un faux bail, espérant toucher la CAF et pouvoir faire reconnaître la cave comme "caveau culturel". Cette femme
(1) se sert du Réveil des Marmottes pour porter plainte contre tout le monde, élus, banques, en falsifiant des pages entières et en les fournissant aux procureurs ou aux gendarmes. Son but est de soutirer de l'argent pour un pseudo "projet culturel" qui est en réalité un chalet en ruine à Moûtiers en Savoie et la "réhabilitation de villages anciens", projet qui est évidemment une invention grotesque. Piégé, je pars en Suisse mais on ne s'installe pas en Suisse comme on le fait en France. Mes ennuis de santé s'aggravent (cœur, œdème pulmonaire, etc...), je réussis, grâce à un ami Suisse, à fuir en Bretagne juste à temps. La hyène me rattrape, ma sœur et sa fille ont déjà fait leur sale boulot, il ne reste plus qu'à m'éliminer en Bretagne. Je suis totalement piégé, je vais de cabines en cabines téléphoniques dans tout Saint-Brieux, je réussis à joindre l'ami Suisse qui vient -discrètement- me chercher pour aller dans l'Allier (Auvergne) où je me suis involontairement retrouvé dans le fief de Jean-Pierre Masseret (décidément). Mes instruments de musique et mes appareils de studio sont entreposés je ne sais où avec tous les documents de ma vie d'artiste: Photos de presse, partitions SACEM ou bandes magnétiques de mes musiques. Depuis 2006, je vivais sans rien, même plus un médiator. Les moyens déployés pour que je me "suicide" sont effarants. Je fais deux attaques cérébrales et un nouvel infarctus au Donjon (qui amplifie les œdèmes, pulmonaire et aux jambes) puis une autre près de Montluçon où je me suis réfugié, dans une petite maison, à Désertines, où j'ai entassé un studio... dans la chambre à coucher.

(1) Au cœur de cette histoire invraisemblable, deux femmes, ma sœur une de ses amies, Jeanne des Arcs de Colmar. Pourquoi ? Pour leurs magouilles personnelles, tout bêtement. Comment ? En tissant une toile de gens déjà engouffrés dans de sales affaires, en me mêlant à mon insu à leurs magouilles en m'utilisant, ou plus exactement ce que je savais faire, textes et dessins du Réveil des Marmottes, en le falsifiant. Leur but ? Récupérer de l'argent, des héritages, et "régler" leurs histoires. Alors, ces personnes ont contacté toutes les administrations, les élus, les procureurs, les flics et surtout des personnalité politiques elles-mêmes impliquées dans de très sales affaires. Tout a pris des proportions effarantes en Savoie en 1995. Pourtant, j'avais été prévenu par le maire de Grésy-sur-Isère. La toile était énorme mais ces gens finissent toujours par se trahir et se dévorer entre eux. J'ai cherché trop loin, j'aurais dû remonter le fil depuis deux personnes et tout serait apparu.

Tout a pris des proportions effarantes en Savoie en 1995. Si les agissements de certaines personnalités s'expliquent, elles voulaient "étouffer" les sales affaires où elles sont impliquées, il restera à découvrir pourquoi les autres ont fermé les yeux ou ont même été complices, volontaires ou non, peut-être tout simplement manipulés, je n'en sais rien. Depuis 2009, mon état de santé s'était tellement dégradé qu'il suffisait de m'isoler, sans plus aucune ressource, absolument rien, et laisser "traîner les choses". C'était facile, monstrueux, inhumain mais si facile. Il en aura fallu des années et un acharnement dépassant tout ce qu'il serait possible d'imaginer. Vous pensez que je suis seul dans ce cas ? Détrompez-vous. Utiliser des proches et la famille pour se débarrasser de quelqu'un (souvent témoin involontaire ou tout simplement gênant) est très fréquent. La méthode est simple et invariable: isoler la proie, la diffamer, la salir et la ruiner. Il faut qu'à la finale cela puisse être un "accident" ou mieux, un "suicide". Hélas pour ma famille et mes "amis", je n'ai jamais eu l'esprit suicidaire et je vais m'accrocher avec une force qui me dépasse moi-même.

Depuis 2005, je fus contraint à sept exils inracontables, dans des conditions dépassant l'imagination. Partout où je me réfugiais, le même "travail" recommençait, il me fallait fuir à nouveau et à chaque fois, mon état de santé se détériorait. Aucun être humain n'aurait survécu. Il m'a fallu une force morale hors du commun pour ne pas craquer mais la force morale ne suffit plus quand l'organisme est totalement détruit. Les preuves sont partout, dans des administrations, chez des élus, des procureurs, des gendarmeries, des toubibs, des huissiers, des notaires, des banques, des centres de tri (mes courriers étaient détournés partout où j'allais), etc... Les courriers, les documents contrefaits, falsifiés ou tout simplement des faux, jonchent le "parcours" de ces personnes comme par exemple les faux documents concernant la ferme de mes parents pour permettre la vente des terrains, aux chasseurs ou à la commune de Saint-Quirin, la vente du bétail, du matériel agricole, de tout les biens de ma mère et de mon père, sans que je n'en sois jamais informé. Il y a bien sûr la complicité d'un -puis d'une- notaire à Lorquin (Moselle). Un testament avait été rédigé par mon père avant sa mort, il a été déposé au Tribunal d'Instance de Sarrebourg (Moselle), on a toujours refusé de me le communiquer.

Pyrénées-Orientales

En 2009, je quitte l'Auvergne après ma troisième attaque cérébrale. J'atterris dans les Pyrénées-Orientales. Mon état de santé s'est encore détérioré, le cœur est complètement HS (les deux côtés suite à la série d'infarctus depuis 2001, j'ai des crampes permanentes aux bas, pires que l'onglée), je ne peux plus marcher ni parler. Je ne peux plus rien faire, plus de musique (bien que j'ai réussi à faire
quelques chansons uniquement avec la force psychique dont je dispose, les enregistrements furent surréalistes). Estimant que j'en avais assez fait, je préférais faire mes reportages photo
(1) avec Nounours (je me suis racheté une moto d'occasion à 450 € en 2012, un custom que je peux piloter dans mon état). Le 8 novembre 2013, j'apprends par ma banque que ma modeste pension (un peu plus de 700 €) a été supprimée. Depuis, je vis absolument sans rien, je suis à 600 € de découvert, tous mes prélèvements automatiques sont rejetés, mais mon cas n'est pas jugé "trop alarmant" par les services sociaux qui prennent tout leur temps. C'était bien un dossier à remplir concernant ma pension que j'ai reçu en octobre 2012. L'assistant social a pris un volet et m'a dit de "ne surtout pas m'en occuper, que tout serait automatique"... Il ensuite été remplacé par la nouvelle assistante... Tout ce dossier a été remis début novembre, avec des tas de justificatifs (tout), à cette assistante qui n'a pas "le pouvoir de remettre cette pension"...

Dans le département "le mieux géré de France" (c'est moi qui l'ai écrit dans mes éditos), où on peut laisser un type dans mon état sans aucune ressource (0,16 €), tout est possible... On m'a accordé le privilège d'avoir un colis alimentaire sans payer les 2 € que je ne pourrais de toute façon pas payer (il me reste 16 centimes). On ne pourra pas me remettre ma pension, peut-être m'accordera-t-on le RSA qui ne servira même pas à couvrir mon découvert, je vais donc passer Noël sans rien et ça dure depuis le 8 novembre.

La moindre petite fringale a des effets désastreux avec le diabète
(2). Avec l'œdème pulmonaire (de l'eau plein les poumons), j'étouffe complètement et les deux côtés du cœur sont HS. Les crampes aux bras et aux jambes (pires que l'onglée) sont permanentes... Plus un mégot à fumer -ça me tenait le moral-, plus possible de me déplacer même en bus, voilà la fin d'année que je vais passer dans les Pyrénées-Orientales... Le cardiologue avait dit que je ne passerais pas l'année. Le 7 décembre, c'est mon anniversaire... Pensez-vous que je tiendrai jusqu'à Noël ?

(1) Catalogne - (2) Extraits médicaux



La Valls de Strauss

Dimanche 10 novembre 2013

Manuel Carlos Valls est né le 13 août 1962 à Barcelone (Catalogne, Espagne). Il fut auparavant maire d'Évry (2001 à 2012) et député de la première circonscription de l'Essonne (2002 à 2012). Candidat à la primaire socialiste d'octobre 2011, il fut directeur de la communication du candidat du PS François Hollande lors de la campagne présidentielle de 2012. Le 16 mai 2012, il est nommé à la tête du ministère de l'Intérieur dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault 1, poste qu'il conserve dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault 2. Manuel Carlos Valls est l'une des rares personnalités politiques, avec Eva Joly, à avoir acquis la nationalité française par naturalisation en 1982. Il rencontre Nathalie Soulié à l'université Paris 1, il l'épouse en 1987, ils auront quatre enfants. Divorcé, il est marié depuis le 1er juillet 2010 à la violoniste Anne Gravoin entrée en 2012 dans l'équipe de l'émission Chabada présentée par Daniela Lumbroso, dont le mari, Éric Ghebali, est un proche de Manuel Valls. Manuel Valls adhère au Parti socialiste en 1980 (à 17 ans) pour soutenir Michel Rocard. Il entre dans les réseaux rocardiens de la "deuxième gauche", opposés au sein du PS à François Mitterrand. Pendant ses études d'histoire à l'université Paris 1, il adhère" au syndicat étudiant UNEF-ID et devient conseiller de Michel Rocard pour les affaires étudiantes. N'étant pas encore français en 1981, il n'a pas pu voter lors de l'élection présidentielle de 1981 (François Mitterrand). À la fin de 1980, il rencontre à l'université deux autres rocardien avec lesquels il se lie d'amitié: Alain Bauer (1) -qui deviendra le parrain de son deuxième fils- et Stéphane Fouks (2). De 1991 à 1993, il est délégué interministériel adjoint aux Jeux olympiques d'hiver de 1992 d'Albertville (3). Il devient ensuite secrétaire national du parti socialiste à la communication puis chargé de la communication et de la presse au cabinet de Lionel Jospin (PS), Premier ministre de Jacques Chirac pendant la cohabitation de 1997 à 2002.

En octobre 2011, Manuel Valls rallie François Hollande. François Hollande le nomme directeur de sa campagne pour la présidentielle de 2012 ce qui lui vaut le surnom de "Kommandantur". Le 16 mai 2012, il est nommé ministre de l'Intérieur dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault. Il démissionne le 24 mai 2012 de ses fonctions de maire d'Évry mais il continue de siéger en tant que conseiller municipal. En octobre 2012, Manuel Valls déclare vouloir retrouver le "niveau antérieur de naturalisations". En 2013, plus de 46 000 clandestins sont régularisés soit 10 000 de plus que sous le précédent gouvernement (Nicolas Sarkozy). Le 20 janvier 2013, Manuel Valls déclare: «Les Roms ont vocation à rester en Roumanie ou à retourner en Roumanie»... Manuel Valls se prononce pour le «refus de l'assistanat». Il préconise la hausse des impôts, l'abandon des 35 heures et la diminution des salaires. Il plaide également pour l'allongement de la durée des cotisations pour fixer l'âge du départ en retraite. Manuel Valls a déclaré: «Les Roms habitent dans des campements illégaux ne souhaitent pas s'intégrer». Manuel Valls a été franc-maçon affilié au Grand Orient de France ce qui nous ramène au président PS de la région Lorraine appartenant à la loge maçonnique La Fraternelle.

(1) Alain Bauer est un consultant en sécurité. Il était conseillé du président Nicolas Sarkozy sur les questions de sécurité après avoir été conseiller du ministre de l'Intérieur (Nicolas Sarkozy). Alain Bauer est franc-maçon, il a été grand maître du Grand Orient de France de 2000 à 2003.

(2) Stéphane Fouks, le patron d'EuroRSCG, et impliqué dans l'affaire Cahuzac. Il avait participé à la défaite de Lionel Jospin en 2002 et il a été impliqué dans l'affaire du Sofitel (Dominique Strauss-Kahn) en 2011. Stéphane Fouks, expert en communication politique, est le coprésident exécutif d’Euro RSCG Worldwide et l’un des quatre directeurs généraux du groupe Havas, présidé par Vincent Bolloré. En 2007, Vincent Bolloré a mis son jet privé et son yacht personnel (le Paloma) à la disposition de Nicolas Sarkozy, tout juste élu président de la République.

(3) Voir les JO d'Albertville



Mercredi 13 novembre 2013

Si on voulait faire la liste de toutes les personnalités impliquées dans des affaires de pédophilie en France, le bottin ne suffirait pas. Mais il faut des anonymes, des femmes et des hommes courageux (que je compare volontiers aux Résistants), pour s'attaquer à la pédophilie, le crime le plus immonde de l'humanité. J'ai souvent écrit -en m'attirant les foudres de l'extrême-gauche, des anarchistes ou des Libertaires et même de l'Opus Dei- que les pédophiles devraient être empalés, que la guillotine serait trop douce pour eux. Les empaler, très lentement, afin qu'ils ressentent [profondément] ce qu'ils ont fait aux enfants... Le statut "d'intellectuel" a permis à des écrivains comme Henry de Montherlant, Roger Peyrefitte ou André Gide d'assumer leurs goûts sexuels pour les jeunes garçons sans être inquiétés. Tony Duvert, qui publie son premier roman "Récidive" en 1967, remporte le Prix Médicis en 1973, il se dit ouvertement pédophilie et continue à être publié par les Éditions de Minuit. En 1974, Duvert publie "Le Bon Sexe illustré" et Gabriel Matzneff publie "Les Moins de 16 ans", en exaltant l'amour des tout jeunes adolescents, où il évoque ses actes de pédophilie avec des garçons de douze ans. Matzneff n'est pas critiqué par les médias, il assure même des chroniques dans divers journaux, dont Le Monde. Le philosophe René Schérer publie en 1974 "Émile perverti", un essai contestant "que les rapports sexuels soient nocifs pour les enfants"...

Des pétitions contre la majorité sexuelle sont diffusées en France. La plus célèbre, publiée dans Le Monde du 26 janvier 1977 (relayée par Libération), concerne «l'affaire de Versailles»: trois hommes ont comparu devant la cour d'assises de Versailles pour «attentats à la pudeur sur mineurs de 15 ans» et pour avoir pris en photo leurs "partenaires". Leurs trois ans de détention (préventive) suscitent une pétition de soutien signée par diverses personnalités, le texte affirme que les enfants étaient... consentants ! Parmi les signataires figurent Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer et Philippe Sollers. En janvier 1979, un pédophilie, Jacques Dugué, est arrêté pour abus sexuels et accusé de faire partie d'un réseau de proxénétisme pédophile. Il publie durant deux jours dans Libération une tribune où il fait l'apologie de la «sodomisation d'enfants», il affirme que «l'enfant qui aime un adulte aime ressentir dans son corps le membre viril de celui qu'il aime, d'être uni à lui, par la chair...» Il demande «qu'on arrête de persécuter les pédophiles...» Au procès de Dugué, René Schérer et Gabriel Matzneff témoignent en sa faveur. Plus tard, le multirécidiviste est arrêté dans le cadre d'une affaire de viol et de pornographie enfantine.

En 1979, Libération publie une interview de Tony Duvert recueillie par Guy Hocquenghem, il réaffirme sa pédophilie et préconise de retirer les enfants à leurs mères et «d'empêcher que les femmes aient un droit exclusif sur les enfants qu'elles oppriment et dont elles nient le droit à la libre sexualité...» Dans l'essai "L'Enfant au masculin" (1980), il affirme avoir eu des "partenaires sexuels" âgés de six ans. Le 20 juin 1981, Libération publie un article intitulé «Câlins enfantins», qui présente de manière complaisante le témoignage d'un pédophilie sur ses rapports sexuels avec une enfant de cinq ans. Des groupes d'extrême-gauche ou des organisations comme la Ligue communiste révolutionnaire et les Libertaires
(1) soutiennent ouvertement la pédophilie (le RdM sera plusieurs fois menacé et attaqué par eux). En 1975, Daniel Cohn-Bendit publie aux Éditions Belfond le livre "Le Grand Bazar" dans lequel il écrit, au sujet de son expérience d'éducateur dans un jardin d'enfants à Francfort: «Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller...» En 2005, le Réveil des Marmottes reçoit, suite à son combat contre la pédophilie, des menaces et un message des anarchistes Libertaires: «On devrait exterminer les enfants victimes de la pédophilie dans des camps de concentration...» On en oublierait Serge Gainsbourg (Lemon Incest avec sa fille Charlotte) ou Charles Trénet.

(1) Un certain Patrice Leboulanger de Lafrimbolle (Moselle), parti se "réfugier" dans les Landes. Ex-communiste, ex-socialiste et ex-anarchiste. Catholique puis Témoin de Jéhovah, il est devenu protestant puis évangéliste. Il a rejoint le mouvement Libertaire. Sous le coup d'une affaire de viol sur mineure, une jeune fille qu'il séquestrait et tabassait dans une caravane dans son jardin, il a été "blanchi" par la gendarmerie s'il "aidait" ma sœur à se débarrasser de moi. Menaces (sur le RdM), diffamation à outrance sur Internet, il a été jusqu'à falsifier ma page Wikipédia. Sa seconde épouse travaillait aux impôts et fournissait des faux pour qu'on puisse me spolier de tous mes biens. Il a (re) divorcé depuis. Partout où j'ai vécu, depuis Saint-Quirin, mon courrier était détourné, les gendarmes en avaient des preuve flagrantes, ils ont fermé les yeux... En 2005, le RdM recevait ce message des Libertaires: «On devrait enfermer les victimes des pédophiles dans des camps de concentration...»

Les balades de Nounours


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