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Nibiru System: Fonctionnement de la planète dirigeable

Mise en ligne: Samedi 18 août 2012

Le Réveil des Marmottes vous propose de découvrir le fonctionnement de Nibiru ("Nibiru System"), la planète pilotée. Contrairement à certaines idées reçues, Nibiru n'est pas un OVNI ni une planète standard mais une planète artificielle habitée dirigeable. Jusqu'ici, on pensait que Nibiru était un astre incandescent voyageant de façon automatique sur une orbite intergalactique traversant tous les 3600 ans les orbites de nos planètes du système solaire. Le professeur Jean Céryhin a fait une découverte sensationnelle: Pour comprendre ce qu'est réellement Nibiru, il fallait l'observer de l'intérieur, c'est ce qu'a fait le professeur Jean Céryhin aidé de ses amis extraterrestres, Âksan Thégu et Trâh Xion. L'aspect de "boule en feu" observable provient en réalité de la couche de protection circulaire à la surface de l'astre. C'est elle qui subit le réchauffement lorsque Nibiru pénètre les couches atmosphériques des planètes qu'elle visite. La zone habitable, située juste dessous, est protégée de ce réchauffement. Les deux jets aux pôles proviennent de deux énormes tuyères disposées de part et d'autre de l'axe de la planète dirigeable. Plus bas se trouve le réservoir d'oxygène et au centre de la planète se trouve le réservoir d'hydrogène. Les deux nucléoréacteurs sont alimentés par l'hydrogène, les gigantesques jets qu'ils émettent, toujours dans le sens opposé, sont comparables à la fusion nucléaire d'une étoile. Les tuyères sont orientables (un peu comme sur un Harrier mais un million de fois plus grandes), toujours dans le sens opposé.

La planète peut donc être dirigée dans n'importe quelle direction. Le professeur Jean Céryhin, aidé de ses amis extraterrestres Âksan Thégu et Trâh Xion, en ont donc déduit que l'orbite de Nibiru n'est pas statique mais que c'est une orbite intelligente variant au gré des actions menées du poste de pilotage. Il suffit, pour changer d'orbite, de faire pivoter les tuyères orientables lorsque la planète traverse une couche atmosphérique d'un autre astre ce qui n'est pas sans conséquence pour l'astre en question. L'observateur voit la couche supérieure de Nibiru, incandescente lorsque la planète s'approche d'un astre mais invisible quand Nibiru est dans la partie de son orbite située dans le vide intergalactique. Cette couche de protection devient translucide et sert de bouclier anti-radars. Dans le vide cosmique, Nibiru est invisible. Pourquoi Nibiru passe tous les 3600 ans près d'une planète comme la Terre ? Nibiru est différente des planètes artificielles comme Pluton, n'ayant pas de nucléoréacteur et voyageant sur une orbite fixe selon l'inertie qu'on leur a donnée.

Nibiru est une planète propulsée lorsqu'elle se trouve dans l'atmosphère d'un astre. Elle doit tout simplement faire le plein. Or, notre Soleil est une réserve d'hydrogène et la Terre une réserve d'oxygène. Sur le croquis, vous remarquerez le conduit de remplissage muni de valves et permettant à Nibiru, lorsqu'elle est proche du Soleil, de faire le plein d'hydrogène et lorsqu'elle se rapproche de la Terre, de remplir son réservoir d'oxygène (notons le système d'évacuation de l'eau sale et des WC pour toute la zone habitable de la planète soit environ 15 fois la surface habitable de la Terre et 70 fois le volume des océans sur Terre). Nibiru serait venue faire le plein il y a 3600 ans soit à l'époque des pyramides et des premiers Mayas. Les couloirs obliques des pyramides indiquent d'où est venue Nibiru et où elle ira mais depuis, la planète a changé d'orbite. Ces étapes de remplissage de ses réservoirs épuisent le combustible du Soleil (l'hydrogène) et les réserves d'oxygène de la Terre. Un arrêt "station service" pourrait être de trop et serait fatal à la Terre. Nibiru serait donc passée incognito en décembre 2012 près du Soleil pour faire le plein d'hydrogène, cachée sous les gigantesques jets de magma. C'est pourquoi elle ressemble à une boule de feu indétectable, son bouclier de protection est prévu pour supporter des réactions thermonucléaires de dix milliards de fois celle d'Hiroshima, ce qui expliquerait les formidables éruptions solaires.

Nous ne pouvons pas observer d'extraterrestres ni d'OVNI sur Nibiru et pour cause, ils sont à l'intérieur, sous la couche de protection. La zone habitable dispose d'une gravitation artificielle et d'assez d'oxygène pour 3600 ans. Les OVNI décollent d'un pont de sortie comparable à l'ascenseur d'un porte-avions. L'ascenseur de Nibiru permet aux OVNI de se poser sur la plate-forme et d'être descendus au hangar sous la surface. Les navettes de Nibiru utilisent la MHD avec à l'avant des convertisseurs à supraconducteurs (l'énergie cinétique de l'air est convertie en électricité) et à l'arrière des gaz accélérés par un MHD inversé utilisant l'électricité produite à l'avant: Un cycle réversible pouvant propulser l'engin à Mach 200 et la propulsion électromagnétique pulsée (PEP), une méthode de propulsion utilisant la force produite sur un plasma en présence d'un champ électromagnétique. Les OVNI de Nibiru sont donc totalement silencieux. Lorsque Nibiru a terminé de faire le plein d'oxygène, elle remet la puissance de ses tuyères orientables pour se positionner sur une nouvelle orbite et filer à la vitesse de révolution stellaire d'une planète.

La planète subissant les flux des tuyères peut ainsi être éjectée de son orbite et propulsée dans un trou noir. Les extraterrestres en avaient averti les Terriens il y a 3600 ans lors de leur dernier passage, le Soleil se rapprochant du trou noir du centre de la Voie Lactée, la Terre pourrait être avalée par le trou noir. Les humains n'ont pas compris le message donné aux Mayas ne l'ayant pas compris eux-mêmes. Le Nibiru System est propre à cette planète. Les planètes artificielles comme Pluton ne sont pas dirigeables, elles gravitent selon l'inertie donnée lors de leur placement en orbite héliocentrique, elles ont des orbites différentes de celles de autres planètes et ne sont pas sur le plan de l'écliptique. Elles servent de bases d'attente aux OVNI (navettes) d'une autre civilisation extraterrestre. Le reste de la planète est comparable, tout se passe à l'intérieur, sous la couche de protection. Il serait donc vain de vouloir observer des OVNI ou des extraterrestres à la surface de ces planètes. Sur les planètes dites "naturelles", des bases sont été construites sous le sol et quand les humains visitent ces astres (avec des Hommes ou des robots), ils pourraient les découvrir. Les extraterrestres sont obligés d'intervenir. Les Terriens ne peuvent pas envoyer de robots sur la couche incandescente de Nibiru et quand la planète dirigeable est dans le vide intergalactique, elle est trop loin, aucun vaisseau humain ne pourrait y aller.

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Nibiru, légende ou réalité ?
Mise en ligne: Samedi 2 juin 2012

Nibiru me rappelle le plus étrange couple au confins du système solaire: Pluton et son satellite Charon ou la mystérieuse la "Planète X" que Percival Lowell recherchait. Les Mayas évoquent une planète invisible, Nibiru. Il a fallu attendre 1930 pour découvrir que Pluton était bien la "Planète X" que Percival Lowell recherchait. Ce n'est que le 22 juin 1978 que Charon fut découvert par James W. Christy. Alors, pourquoi pas une autre planète encore inconnue et jamais observée dans notre système solaire ? Dans le système solaire, les planètes et le Soleil se situent approximativement au sein du même plan appelé plan de l'écliptique. Depuis la perspective vue de la Terre, l'écliptique est la course du Soleil dans le ciel au cours d'une année. Les treize constellations situées sur ce chemin font partie du zodiaque et annuellement, le Soleil les traverse, une après l'autre. Le cycle annuel du Soleil semble changer très lentement d'un degré vers l'arrière tous les 72 ans ou d'une constellation tous les 2 160 ans. Ce mouvement rétrograde -appelé "précession des équinoxes"- est provoqué par l'oscillation de l'axe de la Terre. Alcyone est la plus brillante étoile des Pléiades (amas M45), un amas d'étoiles dans la constellation du Taureau. Les Pléiades sont situées à plus de 400 années-lumière de la Terre.

Bételgeuse est bien dans la dernière étape de sa vie d'étoile et deviendra une supernova mais il est impossible de prédire quand. Bételgeuse se trouve à environ 600 années-lumière. Nibiru est un nom de l’astrologie babylonienne parfois associée au dieu Marduk. Selon une croyance de la mythologie babylonienne, Nibiru (Neberu ou Neburu) était le nom d'un astre associé soit au dieu Marduk ou au dieu Marduk lui-même. De nos jours, Nibiru est devenue une planète inconnue dans le système solaire. Plusieurs théories s'affrontent: D'après des études archéologiques, il s'agit du nom akkadien de la planète Jupiter. Cependant, la tablette de l'Enûma Elish suscite des controverses, elle se démarque en effet d'autres textes du fait qu'elle présente une Nibiru qui pourrait avoir été l'étoile marquant le pôle nord céleste (à l'époque de Draconis -Thuban- ou Kochab). Des auteurs comme Zecharia Sitchin et Burak Eldem soutiennent une toute autre théorie, Nibiru serait un objet céleste encore non identifié. Cet astre inconnu, la planète X, passerait à proximité de la Terre tous les 3 600 ans et serait actuellement situé au-delà de Pluton. On l'assimile parfois à la planète Perséphone (astre supposé par des astronomes en observant les anomalies dans l'orbite de Neptune). Selon Zecharia Sitchin, une ancienne légende, "L'Épopée de la Création", découverte dans les ruines de la bibliothèque d'Assourbanipal à Ninive, ne décrit pas des combats célestes opposant les divinités mais des faits astronomiques réels. Chaque divinité représentant une planète. Il remarqua qu'une planète inconnue était mentionnée en tant que Tiamat. Une collision entre Tiamat et Nibiru (Mardouk) se serait produite et engendra la Terre et la ceinture d'astéroïdes. Tiamat fut complètement détruite durant la collision. Nibiru a une orbite très excentrique et très elliptique. De ce fait, Nibiru est le plus souvent à l'extérieur du système solaire et devient une planète du système solaire selon son orbite (nous avons un cas similaire dans le système solaire: Pluton). Nibiru passe au voisinage de la Terre tous les 3600 ans lorsque son orbite la situe dans le système solaire.

Marshall Masters soutient la théorie de l'existence de la planète X, Nibiru, dans le système solaire. Selon lui, le "South Pole Telescope", un télescope américain situé en Antarctique, a été construit pour observer cette planète invisible. Chacun est libre de penser ce qu'il veut mais il faut bien l'admettre, l'Univers -et même notre système solaire- nous réservera encore bien des surprises. Pluton et Charon en sont de bons exemples et d'autres mystères ont récemment été décelés dans le système solaire. Si Éris, facilement observable avec un télescope d'amateur, n'avait jamais été vue, pourquoi n'en serait-il pas de même avec Nibiru ? Pluton, Charon, Éris, Cérès, Nibiru, ne pourraient-ils pas être des astres artificiels ? Non, on va encore m'accuser de voir des OVNI partout. La planète X est le nom donné à une planète "hypothétique" du système solaire située au-delà de Neptune. Elle est parfois appelée Perséphone ou Nibiru. Son existence fut envisagée à la fin du XIXe siècle en observant les anomalies dans l'orbite de Neptune. Nibiru n'est pas sur le plan de l'écliptique (cercle sur la sphère céleste représentant la trajectoire annuelle du soleil vue de la Terre. Du point de vue héliocentrique, l’intersection de la sphère céleste avec le plan écliptique -plan géométrique contenant l’orbite de la Terre autour du Soleil-).



Nibiru, la planète invisible

Mise en ligne: Dimanche 15 juillet 2012

 

Beaucoup d'astronomes de la fin du XIXe siècle ont spéculé sur l'existence de la planète X. L'astronome français Alexis Bouvard avait noté des perturbations sur l'orbite d'Uranus et en a attribué la cause à une huitième planète plus lointaine. En 1843, la planète Neptune a été découverte par John Couch Adams et Urbain Le Verrier en se fondant sur les anomalies des orbites d'Uranus, de Saturne et de Jupiter. La loi de Titius-Bode, donnant une progression dans les positions des planètes, a quelquefois été utilisée pour prédire la présence de nouvelles planètes. La loi de Titius-Bode fixe l'éloignement des planètes par rapport au Soleil en prenant comme indice de base Mercure (0): 1) Vénus - 2) Terre - 4) Mars - 16) Jupiter - 32) Saturne - 64) Uranus etc... Il manque le 8 entre Mars et Jupiter. Le 8, l'astre manquant, là où gravite la ceinture d'astéroïdes... La planète autrefois supposée entre Mars et Jupiter ? Percival Lowell appela cette planète hypothétique «planète X». Il rechercha cette planète par deux fois, sans succès. La première recherche se termina en 1909, la seconde commença en 1913 et se termina en 1915. Lowell publia ses résultats théoriques sur les paramètres de la planète X. Ironie du sort ? Pluton fut découverte en 1930. Pluton fut considérée comme planète de 1930 à 2006. En 1919, William Henry Pickering avance l'existence et la position d'une nouvelle planète en se basant sur les anomalies dans les orbites d'Uranus et de Neptune.

Nous savons aujourd'hui que la masse de Pluton est beaucoup trop faible pour pouvoir engendrer des effets observables sur les orbites d'Uranus et de Neptune. En 1978, Richard Harrington et Thomas Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et d'Uranus avaient subi des perturbations provenant vraisemblablement de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste (encore non identifié), il fut nommé planète X. Selon un rapport d'août 1988 publié par Harrington, la Planète X ferait trois à quatre fois la taille de la Terre. Elle aurait été "piégée" par le Soleil dans une orbite très excentrique et très inclinée (30 degrés) sur l'écliptique. Sa périodicité est de 3 300 à 3 600 ans. En 1992, les scientifiques affirmèrent qu'il existait bien une 10e planète "intruse" dans le système solaire. En janvier 1981, un astronome du National Radio Astronomy Observatory déclara que des irrégularités constatées dans l'orbite de Pluton laissaient supposer l'existence d'une planète encore inconnue dans le système solaire.

En 1983, le télescope spatial IRAS repéra, dans l'espace lointain, un objet inconnu. Cette observation fut rapportée dans le Washington Post du 30 décembre 1983. Un corps céleste -de la taille de la planète Jupiter et pouvant être orienté vers la Terre au point de faire partie du système solaire- avait été découvert vers la constellation d'Orion par le télescope IRAS. En 1985, D. Whitmire, J. Matese et Luis Walter Alvarez (qui a le premier évoqué en 1979 la disparition des dinosaures par un impact d'un astéroïde) supposent l'existence d'une "étoile ou planète tueuse" qui reviendrait périodiquement (avec son essaim de météorites) pour semer déluge et extinction (dont celle des dinosaures): l'étoile Némésis, une hypothétique planète X. En 1987, un diagramme publié dans "New Science and Invention Encyclopedia" a montré la position des sondes
Pioneer 10 et Pioneer 11 par rapport à deux corps célestes officiellement non répertoriés: une étoile éteinte à 537 unités astronomiques ainsi qu'une planète inconnue. La NASA reconnut officiellement l'existence de cette dernière, «Une dixième planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du Soleil». En 2001, un rapport de Science News précisait: «L'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée bien au-delà des neuf planètes connues, un objet aussi massif que Mars pourrait avoir fait partie du système solaire et pourrait bien encore s'y trouver...» En 2003, l'astronome Alessandro Morbidelli déclara qu'il s'attendait à ce qu'une planète soit découverte, avec une orbite très allongée, dont la période pourrait se compter en milliers d'années. En effet, on a observé que la ceinture de Kuiper semble s'arrêter brusquement. Cela révélerait qu'une planète, de la taille de Mars, se serait formée dans cette région au début du système solaire et qu'elle aurait "nettoyé", à mesure qu'elle grossissait, l'extérieur de la ceinture de Kuiper. Pluton fut tout d'abord présumée être la planète X mais sa masse est insuffisante pour modifier l'orbite de Neptune. Avec la découverte de Pluton, le nom de planète X prenait un sens supplémentaire: le "X" pouvait désormais être lu comme un dix en numération romaine, et on pensait devoir trouver la dixième planète. Le "X" perdit ce sens quand Pluton fut déclassée en planète naine en 2006. La recherche de l'hypothétique planète X est fondée par les anomalies de l'orbite d'Uranus pouvant être expliquées par l'existence d'une planète voisine.

Zecharia Sitchin décrit la planète Mardouk comme étant située sur une orbite longue, elliptique, entrant dans le système solaire tous les 3 600 ans et y causant des modifications des pôles et d'autres catastrophes terriennes. Avec sa connaissance du sumérien, du sémite et d'autres langues anciennes et grâce à sa recherche et à l'étude de données archéologiques et bibliques recueillies depuis 150 ans, il avança la thèse selon laquelle les dieux de toutes les anciennes mythologies existaient sous forme réelle. Ils étaient des aliens humanoïdes, ressemblant beaucoup aux êtres humains, qui étaient venus sur Terre depuis la dixième planète (la Planète X ou Mardouk pour les Sumériens). Selon Sitchin, ils créèrent génétiquement notre espèce en croisant leurs gènes avec ceux de l'Homo Erectus. Nous ne sommes pas loin de la
Bible de Noutnoute.

Zecharia Sitchin et bien d'autres fondent leurs théories grâce à des documents de la grande bibliothèque d'Assurbanipal à Ninive. Les technologies et des connaissances scientifiques sont fortement en avance sur leur époque. Selon Sitchin, ces documents évoquent une société humaine instaurée à Sumer sous la tutelle de dieux et que des rois furent nommés en tant qu'intermédiaires représentants de l'espèce humaine devant les Annunakis. En effet, ces anciennes civilisations ne parlaient pas des Annunakis comme de dieux mais comme de dirigeants. La planète X a toujours engendré les prophéties les plus folles sur la fin du monde. Certains y voient "leur" vision des prophéties de l'Apocalypse de Jean, bien que Jean n'évoque jamais de "planète X". Marshall Masters appuie la théorie de l'existence de la planète X qu'il désigne comme Mardouk dans le système solaire. Marshall Masters considère que le South Pole Telescope en Antarctique a été construit pour observer en secret cette hypothétique planète.

La date de la fin du monde ? Je ne la connais pas. Je sais juste que tout ce qui est matière a un début et une fin. Naître, c'est commencer à mourir. Ceci est valable pour nous, pour notre planète, pour les étoiles, pour les galaxies et peut-être même pour l'Univers. La durée où une planète est habitable est faible par rapport à sa vie. Il s'agit du court instant où la température est idéale à l'éclosion de la vie en fonction de l'appauvrissement de l'étoile. L'humanité pourrait avoir été créée par "quelque chose" qui nous dépasse dans un but que nous ne pouvons pas comprendre...



Théorie de la Terre creuse selon Âksan Thégu
Mise en ligne: Mardi 1er janvier 2013

Pour vous aider à mieux comprendre la théorie de la Terre creuse, je vous ai fabriqué un plan détaillé de notre planète. Comme aucune sonde spatiale n'a encore pu aller voir au centre de la Terre, personne ne sait véritablement ce qu'il y a. Notre extraterrestre Âksan Thégu est allé avec un de ses OVNI au centre de la Terre par le conduit d'un volcan. Il a pu ainsi découvrir ce que personne n'imaginait: la Terre est bien creuse mais pas creuse comme on le croyait. Commençons par ce que nous connaissons un peu, la surface. La surface de la Terre serait bien habitable. Sous la surface, il y a une mince couche terrestre standard faite de roches où sont entassés les restes d'environ 800 760 000 milliards d'humains ou d'animaux et où se nourrissent les choux ou les carottes. Cette couche reçoit également, par une grande canalisation, des déchets venant du centre de la Terre, le creux, où vivent des intraterrestres centripètes puisqu'ils vivent au centre de la Terre. Cette couche, alimentée par les infiltrations de ce qui est cité plus haut, mélangé aux déchets venus du centre, donne notre charbon et notre pétrole. Sous cette couche se trouve la couche de déchets légers. Les déchets légers viennent directement du centre de la Terre creuse par un conduit d'évacuation qui se divise en déviations jusqu'à la surface, ce qui donne, lorsque la pression est trop forte (le trop-plein), les éruption dites volcaniques.

Plus bas se trouve la couche d'air, elle est alimentée par de fins capteurs allant jusqu'à la surface. L'air ainsi stocké est dirigé vers le creux de la Terre par des conduits d'alimentation. Sous la couche d'air se trouve la couche d'eau potable elle aussi alimentée par des capteurs allant jusqu'à la surface et dirigée vers le creux de la Terre par des conduits d'alimentation. Puis, nous trouvons la couche de magma de déchets lourds. Ce magma est bouillant car les déchets lourds chauffent énormément. Lorsque la pression du magna lourd (bouillant) devient trop forte, le trop-plein est évacué vers la couche de magma des déchets légers par un conduit (mL, magma Lourd / mL, magma Léger). La couche de magma léger, où sont les évacuations et leurs dérivations menant à la surface, est soudain sous pression très forte, les volcans qui en résultent sont plus violents. Cela peut également provoquer des séismes car la pression fait trembler la fine croûte terrestres. Sous le magma bouillant se trouve une fine couche où sont installés d'énormes roulements à billes. En effet, si la Terre tourne sur elle-même, elle ne produit pas la force centrifuge nécessaire car une force gravitationnelle la contrarie. II faut donc augmenter la vitesse de rotation du creux en le faisant tourner, indépendamment de la planète, sur les roulements à billes.

Or, si les extraterrestres de la Terre creuse vivaient tout au centre, ils n'auraient pas de place. Ils doivent pouvoir marcher et installer leurs OVNI au plafond. Comme nous sommes au centre de la Terre, la force centrifuge devient une force centripète qui, au lieu de rapprocher les objets du centre, les maintient sur une trajectoire circulaire ou, plus exactement, au plafond du centre. En effet, tout extraterrestre vivant au centre de la Terre ou tout objet, OVNI, ou autre, posé au plafond du centre, subit une accélération appelée "accélération centripète", qui est dirigée vers le centre de la courbure ou le plafond du creux. Le plafond se retrouve donc au centre du centre tout en bas, là où se trouve le ballon -ou fosse- à déchets. D'un point de vue dynamique et même aérodynamique, le ballon de déchets se trouve au plafond du creux au centre du centre de la Terre. Les extraterrestres du creux de la Terre marchent donc, par rapport aux Terrestres de surface, la tête en bas, sur la zone circulaire en haut du creux. Leurs OVNI doivent donc être posés à l'envers pour décoller à l'endroit par le couloir d'entrée et de sortie allant directement de la surface au creux de la Terre. En général, les entrées et sorties des OVNI entre la surface et la Terre creuse se font dans des cratères de volcans pour passer inaperçues. Si le volcan est en éruption quand ils sortent, les OVNI peuvent se consumer et se crasher en arrivant dans l'atmosphère de la surface.

Pour assurer la rotation du creux, il n'y a pas besoin d'autre mécanisme que les roulements à billes. En effet, le creux profite de l'inertie fournie par la rotation extérieure de la planète. Il faut toutefois que les extraterrestres de la Terre creuse freinent l'accélération de la rotation intérieure sinon le creux se transformerait en trou noir et ce trou noir avalerait la Terre de l'intérieur. Lorsque les intraterrestres effectuent cette manœuvre, cela perturbe les champs magnétiques en surface. Les pôles changent de place et les saisons se mélangent. Quand ils évacuent le trop-plein de magma bouillant, cela provoque un réchauffement en surface ou un refroidissement quand ils évacuent l'eau usée de leurs congélateurs. En 1993, on a vu un iceberg au Lac d'Annecy qui a provoqué le
naufrage du Petit Annick, le tanslactique réputé pour être insubmersible.

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Autres théories de la Terre creuse
Mise en ligne: Mercredi 2 janvier 2013

Concernant notre planète, je préfère croire les géologues et les scientifiques, la Terre posséderait un noyau composé d’un alliage fer-nickel avec des traces d’autres éléments comme le soufre. Mais -pour moi- le mystère demeure. Je ne prétends pas que les théories de la Terre creuse sont forcément fausses, pour une simple raison, personne n'a pu aller au centre de la Terre voir ce qui s'y passe. Les théories de la Terre creuse sont souvent associées à l'idée que la Terre posséderait une zone interne habitable. Si les théories géodésiques les contredisent et que la majorité de la communauté scientifique les rejette considérant qu'il s'agit de théories pseudo-scientifiques, quelques-uns se montrent ouverts à cette possibilité. Alors, qui a raison et qui a tort ? Personne ne peut, avec notre technologie actuelle, prouver ni l'un ni l'autre. L'existence de "royaumes souterrains" est relatée depuis l'Antiquité. Les Enfers de la mythologie grecque, le Svartalfheim de la mythologie nordique, le Sheol du judaïsme, l'Enfer du christianisme, Gog et Magog dans la Genèse, etc... Edmund Halley a supposé en 1692 que la Terre était constituée d'une coquille creuse d'environ 800 km d'épaisseur, de deux coquilles concentriques intérieures et d'un noyau central, ayant respectivement les diamètres des planètes Vénus, Mars et Mercure.

Ces coquilles seraient séparées par une couche atmosphérique, chacune d'elles aurait ses propres pôles magnétiques, elles tourneraient (indépendamment de la planète) à des vitesses différentes. Edmund Halley pensait expliquer les anomalies dans l'affichage des boussoles. Il a supposé l'existence d'une atmosphère lumineuse au centre de la Terre qui produirait les aurores boréales en s'échappant à l'extérieur. Selon lui, les "mondes intérieurs" pourraient être habités. Leonhard Euler aurait également émis l'idée d'une Terre creuse sans les coquilles multiples mais avec un soleil intérieur qui fournirait de la lumière à une civilisation avancée. John Leslie reprit plus tard cette idée, suggérant deux soleils centraux qu'il nomma Pluton et Proserpine. En 1818, John Cleves Symmes a suggéré que la Terre était constituée d'une coquille d'environ 1 300 km d'épaisseur, avec des ouvertures d'environ 2 300 km au niveau des deux pôles et de quatre coquilles intérieures, chacune d'elles également ouverte aux pôles. John Cleves Symmes fut le plus célèbre partisan de la Terre creuse. Il prépara une expédition au Pôle Nord grâce aux efforts de James McBride. Le nouveau président des États-Unis, Andrew Jackson (président de 1829 à 1837), mit fin à la tentative. Symmes mourut en 1829 sans avoir pu mener à bien son projet. Jeremiah Reynolds suggéra également une expédition au pôle. Il aurait tenté d'organiser une expédition lui-même. L'histoire de Reynolds reste obscure, il n'existe même pas de portrait de lui. Il aurait voulu par la suite rejoindre l'expédition de Charles Wilkes en 1838-1842, la suite de sa vie nous est inconnue. Si Symmes n'a rien écrit, d'autres le firent. McBride a rédigé "La théorie des sphères concentriques" de Symmes en 1826. Reynolds aurait rédigé un article en 1827. En 1868, le professeur W.F. Lyons publia une théorie proche de celle de Symmes sans le mentionner. Le fils de Symmes, publia "La théorie des sphères concentriques de Symmes" sans doute pour remettre les choses à leur place.

William Reed publia "Le fantôme des pôles" en 1906. Il proposa l'idée d'une Terre creuse, mais sans coquilles ni soleils intérieurs. Marshall Gardner a écrit "Un voyage vers l'intérieur de la Terre" en 1913. Il rédigea une édition plus détaillée en 1920 et plaça un soleil intérieur dans sa Terre creuse. Gardner ne mentionna par Reed mais Symmes. D'autres ont suggéré que des êtres supérieurs possédant une sagesse ésotérique habitaient les cavernes souterraines d'une Terre creuse. L'Antarctique, le Pôle Nord, le Tibet, le Pérou ou le Mont Shasta en Californie (États-Unis) sont l'entrée d'un royaume souterrain connu sous le nom d'Agartha, certains prétendent même que les extraterrestres y ont des bases secrètes pour leurs OVNI. "La Terre creuse", publié sous le pseudonyme de Raymond Bernard en 1969, reprend les idées de Reed et Gardner en oubliant totalement Symmes. Bernard ajoute également que les OVNI viennent de l'intérieur de la Terre. La Nébuleuse de la Lyre prouverait l'existence de mondes souterrains.

De 1945 à 1949, Ray Palmer publia des récits de Richard Sharpe Shaver. Selon Shaver, une race supérieure préhistorique avait bâti un dédale de cavernes dans les profondeurs de la Terre, leurs descendants, les "Dero", y vivaient encore et utilisaient les fantastiques machines abandonnées par les anciennes races pour tourmenter ceux qui vivent à la surface. Shaver décrivait des voix qui ne provenaient d'aucune source explicable. Des milliers de lecteurs ont affirmé avoir entendu eux-aussi des voix sataniques provenant de l'intérieur de la Terre. D'autres ont même affirmé qu'Adolf Hitler et certains de ses partisans se sont échappés vers des souterrains à l'intérieur de la Terre après la Seconde Guerre mondiale, en empruntant une entrée située dans l'Antarctique. Plusieurs écrivains allemands du XXe siècle, dont Peter Bender, Johannes Lang, Karl Neupert et Fritz Braun, ont publié sur la théorie de la "Terre creuse concave" (Hohlweltlehre). Plusieurs membres de l'entourage d'Adolf Hitler (et peut-être Hitler lui-même) auraient ordonné une opération destinée à espionner la Flotte britannique à partir de l'île de Rügen en mer Baltique, il s'agissait d'obtenir des images des forces ennemies en dirigeant des télescopes vers le ciel. On sait, depuis la parution en 1960 du Matin des magiciens, que l'idéologie nazie se caractérise par un certain mysticisme, le nazisme ayant notamment fondé l'essentiel de son idéologie sur l'Ordre de Thulé.

En 2001, Kevin et Matthew ont publié le livre "La Terre sans horizon". Ils proposent une théorie selon laquelle la Terre est creuse, dans une phase d'expansion, qui doit conduire à un état final d'équilibre. Dans leur théorie, la présence d'un soleil central de petite taille, alimenté par des radiations provenant de la surface intérieure de la coquille terrestre, expliquerait le magnétisme terrestre. Certains ont proposé des mégastructures dans une Terre creuse (Sphère de Dyson et Globus Cassus). Le 4 juillet 2007, un navire aurait dû quitter Mourmansk en Russie, avec à son bord une centaine de scientifiques, ingénieurs, cinéastes, photographes, experts en communication et exopoliticiens. Selon les organisateurs, la Terre serait pleine dans notre univers tridimensionnel mais creuse dans la quatrième ou la cinquième dimension. Le voyagiste a annulé l'exploration, l'organisateur tomba soudain malade, on lui diagnostiqua six tumeurs foudroyantes au cerveau. Il est mort et l'équipe décida de stopper le projet.

Certains théoriciens sont partisans d'une théorie de la "Terre creuse concave". Au lieu de vivre sur la surface extérieure d'une planète creuse (la Terre creuse convexe), nous vivons à l'intérieur d'un monde creux dans lequel c'est la force centrifuge et non la gravité qui nous maintient au sol, l'Univers que nous voyons n'est qu'une illusion qui pourrait être produite par des déviations de la lumière. Cyrus Teed, médecin et alchimiste, eut en 1869 l'intuition du modèle de la "Terre creuse concave" (Cosmogonie cellulaire). Les disciples de Teed effectuèrent en 1897 des mesures sur la côte de la Floride à l'aide d'un équipement technique dit "rectiligneur" (rectilineator). Les résultats obtenus auraient apporté la preuve de la concavité de la courbure de la Terre. Le mathématicien égyptien Mostafa Abdelkader a étudié les adaptations des lois de la physique dans les domaines de la gravitation et de l'optique. Dans son livre "On the Wild Side" (1992), Martin Gardner examine le modèle développé par Abdelkader. Selon Gardner, les rayons lumineux se déplacent selon des trajets circulaires et ralentissent lorsqu'ils se rapprochent du centre de la caverne remplie d'étoiles. Aucune énergie ne peut atteindre le centre de la caverne, qui ne correspond à aucun point situé à distance finie de la Terre dans la cosmologie acceptée par la communauté scientifique. En outre, les dimensions des objets varient selon leur distance au centre de la caverne. Un exemple: Dans un système de coordonnées sphériques, la transformation (inversion) dans laquelle le rayon r deviendrait R²/r (R étant le rayon de la Terre) laisserait inchangés les points à la surface de la Terre mais placerait au centre de la caverne les points à l'infini de l'univers classique.

Selon la théorie mathématique d'Isaac Newton, la force gravitationnelle est nulle à l'intérieur d'une coquille sphérique, quelle que soit l'épaisseur de celle-ci, si l'on néglige l'effet des autres masses à l'intérieur et à l'extérieur de la coquille (théorème de "la coquille creuse"). Selon ce théorème, les êtres qui vivraient à l'intérieur d'une Terre creuse -extraterrestres ou intraterrestres ?- ne subiraient aucune attraction vers l'extérieur et ne pourraient donc pas se maintenir sur le sol. Ils se trouveraient en état d'apesanteur presque complète. La force centrifuge due à la rotation de la Terre les attirerait en théorie vers l'extérieur, mais elle n'excéderait pas 0,3 % de la force de gravité qui s'exerce à la surface extérieure de la Terre. Donc, mon canular d'hier n'est pas si loufoque que ça. Je plaisante également sur un trou noir au centre de la Terre. Or, la présence d'un trou noir au Pôle Nord aurait été révélée sur une photographie de la Terre prise lors de la mission de la NASA
Apollo 11 en juillet 1969. Sur la photo, le trou noir semble absorber les nuages vers l'intérieur de la Terre. En juin 1992, le magazine Ciel et Espace a publié "Le vrai visage de la Terre" révélant des simulations radar du satellite d'observation European Remote-Sensing Satellite comportant une monumentale dépression -un trou noir ?- à la place de la banquise de Ross en Antarctique. Remarquons, juste pour rire, que selon une interprétation encore débattue de données sismologiques, le noyau interne terrestre semblerait tourner à une vitesse angulaire légèrement supérieure à celle du reste de la planète.

Pour ma part, j'évite les affirmations du genre "je sais (que ça existe ou non)". On ne sait rien, seuls les imbéciles sont sûrs d'avoir raison et savent tout (sans rien pouvoir démontrer). Si j'ai tendance à suivre les scientifiques, ils peuvent aussi se tromper. Je privilégie le doute. Nous pensons que la Terre est pleine, que les galaxies et l'Univers, c'est ce que nous observons. Tout n'est peut-être qu'illusions. La Terre creuse, Nibiru, le Multivers, les trous noirs, les trous de ver, la théorie des cordes, les extraterrestres, les OVNI,
l'Atlantide, je m'y intéresse en gardant le sens de la dérision (et même de l'auto-dérision) et le recul nécessaire, tout ce que je sais, c'est que nous ne savons rien ou si peu de choses. Alors, des extraterrestres et des OVNI au centre de la Terre ? Avant qu'on me prouve que c'est impossible, j'ai au moins le droit, plus modestement, de m'interroger.


Texte © by Michel Mahler - Le Réveil des Marmottes

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