Le doute

absolu

 

Conclusion

Les entités ayant désiré vivre en ce monde de matière sont identifiées par les composantes du 7: le 3 (l'être immatériel ou esprit) et le 4 (l'enveloppe matérielle ou individu). Le 7 représente l'être dans son ensemble (3+4). Le 7 symbolise également "la dimension suprême": 3 (immatériel) et 4 (matériel). Le 12 (3×4) indique cette dualité avec une signification plus précise: les 12 tribus, les 12 apôtres, etc... Le 7 et le 12 s'emboîtent dans des éléments de notre Monde (les 12 mois de l'année, les 7 jours de la semaine, etc...). Le 10 (1+9) représente la force négative.

Lorsque le 7 ou le 12 sont en conflit avec le 10, la clé indique qu'il faut aller au-delà des textes et des métaphores. Lorsque la décimale 5 apparaît, le 2 n'est pas très loin: 5+2 et 5×2 redonnent le 7 et le 10. Les chiffres sont souvent associés au 10: 4×10 (40), 3×10 (30), 7×10 (70) ou 12×10 (120). Le 5 est lié au 100 (10×10) dans 5×100 ou 5×10×10 (500). Les calculs au carré ouvrent une autre serrure. Dans tous les cas, et selon sa disposition, la clé permet d'ouvrir le code d'accès aux sens cachés du texte. Dans un premier temps, c'est cette clé qui m'a permis de découper le tableau en 7 époques, uniquement en vertu des textes (7 épisodes allant d'Adam à Moïse). La vérification des sous-tableaux fut faite par la logique décroissante des longévités. Les éléments de la clé se retrouvaient aux bons endroits (début et fin de l'étape). La clé m'a ensuite indiqué qu'il fallait diviser la rangée de Joseph. Pour me forcer à le faire, les chiffres sont répétés et placés surtout là où la division doit intervenir. Il en a été de même avec le sous-tableau "Abraham" dans son ensemble, la rangée "Joseph" devait le diviser pour être divisible elle-même.

«J'aurai passé ma vie à chercher une réponse que j'avais en moi.»

Tout au long de ce texte, nous avons vu la clé s'afficher ainsi: 7 (3+4 ou 5-2); 12 (3×4) et 10 (1+9 ou 5×2).
Nous avons remarqué les rôles du
2 et du 5 en qualité de diviseurs; l'importance du 7 et du 12 en qualité d'entiers
formés par le
3 et le 4 et le 10 symbolisant ce qui est négatif (la force du Mal).

En ce qui concerne "Vers un autre Monde", dans une précédente ébauche de "l'Aventure de l'Humanité", j'en dévoilais le code mathématique exact. J'ai revu ma copie et j'ai décidé de ne fournir que la première clé, 7 mouvements dont 3 concrets (les thèmes chantés) et 4 abstraits (les parties instrumentales)... Ici, les valeurs du 3 et du 4 sont inversées, selon la tradition biblique, le 7 est composé du 3 (abstrait) et du 4 (concret). Ma musique me serait-elle parvenue d'une autre dimension ? Le combat métaphysique qui aura marqué toute ma vie, le conflit entre l'être matériel et l'esprit (dualité du 3+4 et du 3×4 ou rivalité du 7 et du 12 sans cesse confrontés au 10). La simple idée de devoir disparaître m'a toujours terrorisé.

Chaque seconde de ma vie aura été rongée par cette vision d'effroi, indescriptible et insupportable. Depuis ma plus tendre enfance, dans tous mes cauchemars, je me vois mourir, je ne veux pas qu'on referme le cercueil, qu'on m'enterre et je suis parfaitement conscient de subir la putréfaction de mon corps. Et je hurle toujours la même phrase: «Mais pourquoi !?! Pourquoi m'avoir donné la vie si c'est pour finir comme ça ?»... Et je voudrais me réveiller et m'entendre dire: «Tu as fait un mauvais rêve, la mort, ça n'existe pas»... Cette obsession maladive de la mort, malgré des "voyages" bien involontaires dans l'autre dimension, m'auront guidé dans l'écriture d'une oeuvre unique: la théorie et la symphonie ne font qu'un...

«La musique est l'unique art immatériel, elle est le lien entre l'être spirituel et l'individu charnel. Je suis convaincu qu'elle nous est dictée par d'autres entités. Lorsqu'elle est issue de la force positive, elle peut éveiller les esprits. Mais quand elle émane de la puissance négative, elle devient un instrument redoutable pour fanatiser ou abrutir les masses. Beethoven ou Gustav Mahler avaient très bien compris cela. Quant à "Vers un autre Monde", je n'avais qu'à suivre une inspiration que je ne maîtrisais pas. Lorsqu'elle fut achevée, j'en fus le premier surpris.»

Michel Mahler, compositeur
Citations: Beethoven

ANNEXE

Notre Univers est issu du "vide quantique"... Là où il n'y a [apparemment] rien et où tout existe...

Il y a environ 15 milliards d'années, notre Univers était condensé en un point minuscule (des millions de fois plus petit qu'un atome) issu de l'antimatière. Le Big Bang transforma cet état singulier en une entité dont l'évolution obéit aux lois de la relativité générale. Les récents progrès de la physique des particules ont permis de décrire l'histoire de l'Univers à partir de l'instant t = 10-4³ s après le Big Bang. Son diamètre n'est alors que de 10-²8 cm et sa température de 10³² K, il est dans un état de «vide quantique». Pendant la période qui s'étend de t = 10-³5 s à t = 10-³² s, l'Univers traverse une phase d'expansion très rapide: les quarks, les électrons, les neutrinos et leurs antiparticules vont surgir du vide, avec un très léger excédent de matière par rapport à l'antimatière (un milliard de particules +1 sont créées contre un milliard d'antiparticules). Cette «soupe» de particules reste présente jusqu'à t = 10-6 s, quand la température devient suffisamment basse (10¹³ K) pour que les associations de quarks restent stables sous forme de protons, de neutrons et de leurs antiparticules.

Particules et antiparticules vont s'annihiler les unes les autres, aboutissant à un Univers de rayonnement (ère radiative) et où ne subsiste qu'un infime résidu (un milliardième) de particules. La nucléosynthèse primordiale se déroule entre t = 3 min et t = 30 min: protons et neutrons peuvent s'assembler en noyaux atomiques légers tels que l'hélium, l'élément le plus abondant de l'Univers avec l'hydrogène. À t = 500 000 ans, l'Univers s'est assez refroidi (3000 K) pour que les atomes deviennent stables, liés aux protons et noyaux atomiques, les électrons ne s'opposent plus au rayonnement, qui se dissocie de la matière: l'Univers est devenu transparent. Ce rayonnement qui baigne tout l'Univers est encore perceptible aujourd'hui, mais sa température caractéristique n'est plus que de 2,7 K en raison de l'expansion de l'Univers; en effet, celle-ci s'est poursuivie pendant les 15 milliards d'années qui se sont écoulées depuis la période de dissociation.

En 1965, la découverte de ce rayonnement «fossile» (dit cosmologique) apporta une confirmation décisive à la théorie du Big Bang. L'évolution de l'Univers est déterminée par la gravitation. Si sa densité moyenne est supérieure à la densité critique (environ 5×10-³0 g/cm³), les forces de liaison gravitationnelle l'emporteront sur l'expansion, qui finira par s'inverser: une phase de contraction ramènera l'Univers à son point initial. Si sa densité moyenne est inférieure à la densité critique, il poursuivra son expansion. En 1912, l'astronome Vesto M. Slipher qui étudie les spectres des galaxies, remarque qu'à l'exception de quelques galaxies proches, les lignes spectrales révélées par le spectroscope se déplacent vers des longueurs d'ondes plus longues (vers le rouge). Ce phénomène (effet Doppler) démontre que la majorité des galaxies s'éloigne de la Voie Lactée à une vitesse de plusieurs centaines de kilomètres par secondes. En 1929, Hubble compare la distance de différentes galaxies ainsi que leur déplacement. Il découvre que plus la galaxie est lointaine, plus sa vitesse de déplacement est grande. Puisque toutes les galaxies, quel que soit leur emplacement, tendent à s'éloigner de la Voie Lactée, il paraît raisonnable de penser que la Voie Lactée occupe le centre de l'univers. Ce n'est pourtant pas le cas. En 1917, Albert Einstein propose un modèle de l'Univers qui est fondé sur sa nouvelle théorie de la relativité générale. Lorsque le temps est assimilé à une quatrième dimension, la gravitation peut être considérée comme une courbure de cet espace à quatre dimensions. Cela suppose donc que l'Univers n'est pas statique, mais qu'il s'agrandit ou se rétracte. Einstein pense qu'il existe une force répulsive entre les galaxies, qui contrebalance la force d'attraction gravitationnelle, ce qui justifie l'existence d'une "constante cosmologique" dans ses équations: il conclut que l'Univers est statique.

Albert Einstein ne découvrira pas la théorie de l'expansion de l'univers, il considérera que ce fut "la plus grosse erreur de sa vie". Les premiers modèles non statiques de l'Univers sont présentés par le néerlandais Willem de Sitter en 1917, par le mathématicien russe Alexandre Friedmann en 1922 et par le belge Georges Lemaître en 1927. La description de l'Univers proposée par de Willem de Sitter permet de résoudre les équations d'Einstein. La solution d'Alexandre Friedmann dépend directement de la densité de la matière dans l'Univers. Georges Lemaître travaille sur les équations d'Albert Einstein, mais il est surtout connu pour sa théorie de l'atome initial. Il pense que les galaxies sont des fragments qui ont été éjectés à la suite d'une explosion de cet atome et que ce phénomène est à l'origine de l'expansion de l'Univers.

L'avenir de l'Univers tel que Friedmann le définit dépend de la densité moyenne de la matière qu'il contient. S'il existe relativement peu de matière dans l'Univers, l'attraction gravitationnelle mutuelle entre les galaxies réduit peu la vitesse de régression et l'Univers continue à s'étendre. Cependant, si la densité de matière est supérieure à une certaine valeur critique, les forces d'attraction l'emporteront sur la force d'expansion, si bien que l'Univers ralentira sa croissance avant de se rétracter. Cela engendrera un effondrement gravitationnel de l'Univers, lequel doit alors être considéré comme fermé et fini . L'Univers, finalement réduit à un unique point, pourrait exploser à nouveau et créer un nouvel Univers en expansion, qui lui même se désintégrerait. En 1948, le physicien Gamow modifie la théorie de l'atome initial de Lemaître. La très haute densité qui permet l'expansion rapide de l'Univers. L'hélium et l'hydrogène refroidissent et se condensent pour former des nuages de gaz, lesquels donneront naissance aux étoiles. La radiation résiduelle, dite "rayonnement cosmologique" s'est refroidie considérablement, entre le moment où elle a été émise (soit un milliard d'années environ après le Big Bang) et aujourd'hui. Sa température actuelle est de 3 K (à peu près -270 degrés Celsius). S'il existe une infinité d'Univers, le nôtre est-il ouvert ou fermé ? Des astronomes essayent de déterminer si la densité moyenne de matière dans l'univers est supérieure à la valeur critique établie par Friedmann. On peut mesurer la masse d'une galaxie en observant le déplacement des étoiles qui la composent. Si la masse de l'Univers est obtenue en additionnant la masse de toutes les galaxies, elle n'atteint que 10% de cette valeur critique. La masse d'un groupe de galaxies peut être calculée en mesurant le déplacement des galaxies qu'il contient. Si l'on multiplie cette masse par le nombre de groupements de galaxies, on obtient une masse beaucoup plus importante qui se rapproche de la limite critique, dans ce cas, notre Univers serait clos et devrait finir par se contracter et se désintégrer. La différence des résultats obtenus en fonction de la méthode retenue suggère la présence d'une matière invisible (la matière noire). Elle est située à l'intérieur du regroupement, mais en dehors des galaxies visibles. Comme la lumière émise par les galaxies les plus lointaines voyage pendant des milliards d'années avant d'être visible de la Terre, la vision que nous avons de l'Univers est en réalité une vision du passé. Des chercheurs tentent maintenant de localiser la matière noire et les "masses invisibles" de notre Univers. Dans les années 1960, le radioastronome britannique Jocelyn Bell découvre des signaux provenant d'astres comparables aux étoiles. Les études ultérieures réalisées par son compatriote Antony Hewish prouvent que les sources ne sont pas constantes, mais qu'elles pulsent (d'où leur nom de pulsars), et qu'elles sont formées de matière encore plus condensée que les naines blanches. Les pulsars (également connus sous le nom d'étoiles à neutrons) se forment lorsque la masse de l'étoile dont ils sont issus est comprise entre 1 et 3 fois la masse du Soleil.

Au-delà de 2,5 masses solaires, l'étoile mourante s'effondre sur elle-même pour devenir un trou noir, corps céleste si dense que même la lumière s'y trouve piégée. On peut toutefois repérer un trou noir car, lorsque la matière y tombe, sa vitesse augmente, et elle émet des radiations. En 1994, des chercheurs ont apporté des preuves convaincantes de l'existence d'un trou noir au milieu d'une des galaxies (M87) de la constellation de la Vierge (voir pages sur les collapsars). C'est l'astronome persan Al-Sufi (903-936) qui décrit la première galaxie, dans la constellation d'Andromède. Au milieu du XVIIIème siècle, on n'a encore identifié que trois galaxies. L'astronome français Charles Messier publie une liste de 32 galaxies en 1780. Elles sont aujourd'hui repérées par le code M (pour Messier): Andromède, par exemple, est repérée par le sigle M31. Les astronomes britanniques Caroline et John Herschel ont, au début du XIXème siècle, identifié et catalogué des milliers de galaxies. La plus grande galaxie connue comprend 13 fois plus d'étoiles que la Voie Lactée. Les quasars sont des objets qui semblent stellaires, ou presque, et qui se trouvent à des distances considérables. On pense que ce sont des galaxies actives dont le noyau contient d'énormes trous noirs. Ils sont probablement apparentés aux radiogalaxies (galaxies connues par les ondes radioélectriques qu'elle émettent). Les galaxies ne sont généralement pas isolées dans l'espace mais font partie d'un groupe qui forment ensuite des amas. La Voie Lactée fait partie d'un groupe d'environ 20 galaxies. C'est avec Andromède la plus importante du groupe, elles comptent chacune un billion (1 million de millions) d'étoiles. Les Nuages de Magellan sont des galaxies satellites voisine, plus petites, avec 100 millions d'étoiles chacune. L'amas le plus proche de notre galaxie est celui de la Vierge. Le groupe auquel appartient la Voie Lactée n'est qu'un membre de l'amas, qui contient lui-même des milliers de galaxies de types différents. Ces amas ont tous un mouvement qui va dans la même direction, peut-être à cause de l'existence d'un superamas
(1). On connaît des superamas d'un diamètre de 300 millions d'années-lumière (distance en km: 300 000 000×300 000×31 557 600) et La Grande Muraille, filament galactique découvert en 1989, s'étend sur plus d'un demi-milliard d'années-lumière. Les galaxies les plus éloignées, à la limite de l'univers visible, s'éloignent de la Terre à une vitesse égale à 88% de celle de la lumière et se seraient formées environ 2 milliards d'années après la naissance de l'univers.

(1) Nous sommes peut-être ici devant l'explication la plus rationnelle de "Dieu" ou de "dieux" (El, utilisé au pluriel, Elohim, dans les textes anciens de la Genèse). Et s'il y avait encore quelque chose de plus vaste ? Une dimension d'où tout serait issu ? Notre cerveau pourrait-il l'imaginer ?

Albert Einstein:
La relativité restreinte et générale


La théorie de la relativité repose sur une analyse critique des notions d'espace et de temps. Albert Einstein remit en question les notions de temps absolu et d'espace universel, et particulièrement la notion de simultanéité de deux événements se produisant en des lieux différents: deux signaux pourront être simultanés pour un observateur placé dans un repère "R" sans l'être pour un observateur placé dans un repère R' en mouvement par rapport à "R". Albert Einstein proposa en 1905 les postulats de la relativité restreinte. La lumière se propage dans le vide de façon isotrope (dont les propriétés sont semblables quelles que soient les directions), et sa vitesse "c" est la même quel que soit le repère dans lequel on la mesure. La formule "E=mc²" montre qu'une particule au repos possède une énergie considérable du fait même de sa masse, c'est cette énergie qui peut être libérée au cours des réactions nucléaires... Elle constitue une extension de la théorie précédente aux repères non galiléens. Albert Einstein postule que les forces d'inertie sont assimilables aux forces gravitationnelles. La masse gravitationnelle (masse pesante) est égale à la masse inerte. L'espace-temps, qui comprend les 3 dimensions d'espace plus une 4e dimension, le temps, est courbé au voisinage d'une masse et le mouvement d'une particule au voisinage de cette masse s'effectue en suivant le plus court chemin dans cet espace-temps. Le temps n'est donc pas fixe.

Année-Lumière: Si "n" vaut 500 AL, multiplier "n" par 300 000 puis par le nombre de secondes dans une année.
Annihilation: Transformation de la masse d'une particule en énergie par désintégration.

Max Planck: La théorie des quanta

Quantum (au pluriel, des quanta)

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Espace-temps

La théorie des quanta fut établie en 1900 par Max Planck. La mécanique quantique fut ensuite développée par Schrödinger et rendue compatible avec la théorie de la relativité par Dirac. La "théorie de Planck" a expliqué la nature de la liaison chimique et a permis l'essor de la physique nucléaire. Les transferts d'énergie entre matière et rayonnement ne s'effectuent pas de façon continue mais mettent en jeu des quantités finies d'énergie, ou grains d'énergie, appelés quanta.

L'énergie "E" d'un quantum est égale au produit de la fréquence "f" du rayonnement qui le transporte par la constante "h", si "c" est la vitesse de la lumière et "f" la longueur d'onde du rayonnement. Dans cette formule, "E" s'exprime en joules,"h" en joules-seconde, "f" en hertz, "c" en mètres par seconde. En mètres, la constante "h" est égale à 6,626 176.10-³4 joules/s.

Espace non euclidien * à quatre dimensions, utilisé dans la théorie de la relativité générale d'Einstein pour tenir compte de la déformation de l'espace par les champs de gravitation. Il y a donc 3 dimensions d'espace et une quatrième dimension: le temps. Dans les années 1990, l'existence d'une cinquième dimension où serait emboîté le tout est démontrée... Cette super-dimension comprendrait les dimensions de l'espace et de la matière, celle du temps et celles du "mal" et du "bien".

* Euclide: Mathématicien grec ayant vécu vers 300 avant J.-C., il fut instruit à Athènes par des disciples de Platon. Son oeuvre maîtresse, "les Eléments", est un traité sur la géométrie plane, les proportions, les propriétés des nombres, les magnitudes incommensurables et la géométrie des solides. Euclide a fait plusieurs découvertes dans le domaine des nombres.

Nombres quantiques: Ensemble de 4 nombres définissant complètement l'état de chaque électron d'un atome (4=concret)

Case quantique: Représentation schématique d'une orbitale atomique associée à 3 nombres quantiques (3=abstrait).

Les Mondes parallèles

Matière:

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Antimatière:

Le constituant fondamental de la matière est l'atome, formé d'un noyau et d'électrons périphériques. Le noyau est formé de nucléons (protons et neutrons), particules soumises à des interactions qui assurent leur cohésion. La fission des noyaux et la fusion des nucléons sont accompagnées de variations de masse, de la mise en jeu d'énergie et de l'émission de particules; elles sont composées de sous-particules appelées quarks (particules: particules de matière). À la matière s'oppose l'antimatière, composée d'antiparticules. Les plasmas sont constitués d'atomes ionisés (électrons négatifs et ions positifs).

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De même que la matière est constituée d'électrons, de neutrons, de protons, l'antimatière est constituée d'antiparticules telles que positons, antineutrons, antiprotons. La rencontre d'une particule et de son antiparticule provoque une dématérialisation produisant un rayonnement électromagnétique.

Inversement, un couple particule-antiparticule peut être créé à partir d'un rayonnement électromagnétique. Des antiparticules ont été créées en laboratoire de 1955 à 1960, on est parvenu à créer quelques noyaux constitués d'antiprotons et d'antineutrons.

La matière et l'antimatière sont donc composées des mêmes éléments. Un élément de l'antimatière a donné naissance à un grain de matière qui, en explosant, a libéré les dimensions d'un Univers de matière. Cet univers, lorsqu'il aura atteint les limites de son expansion, se contractera sur lui-même, absorbera la lumière et la matière et retournera à l'antimatière. Un tel phénomène, bien qu'il ne représente qu'une partie de notre Univers, fut repéré dans la galaxie M87.

Photos, illustrations, documentation, archives personnelles: Michel Mahler et...
Théorie de Max Planck - 14 décembre 1900
Théorie d'Alexandre Friedmann - 1922
Théorie sur la Relativité Générale, Albert Einstein - 1917
Dictionnaire Hachette 1 et 2
Encyclopédie Générale 1 et 2
La Terre de A. Beiser
Dictionnaire Encyclopédique de la langue française
Grand Atlas Mondial - L'Univers
Les galaxies - Le Système Solaire
L'Ancien et le Nouveau Testament traduits par Louis Segond
La Bible de Chouraqui


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